Cette semaine, l'hôpital est inspecté. Restez sur vos gardes, Trager rôde... |
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| Je te deteste mais je t'aime tellement . | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Je te deteste mais je t'aime tellement . Lun 11 Aoû - 1:10 | |
| Dorian & Rachel Une bonne soirée rien de mieux pour aller travailler le jour suivant avec une motivation remarquable et sans oublier la bonne humeur. Rachel avait super bien dormi elle n’avait pas été dérangée, son gsm n’avait pas sonnée a quatre heure du matin ou quoi que ce soit, c’était une nuit très calme. Mais maintenant il était l’heure de se lever, eh oui tout ce qui est bon se termine vite et puis aller travailler n’est qu’une partie de bonheur surtout si la journée n’est pas très mouvementée, la belle rousse finit par se lever de son lit elle râlait un peu car après tout la premier fois qu’elle arrive a bien dormir elle doit se lever pour aller se casser le cul au boulot, faut vraiment pas avoir de la chance et puis c’est pas toujours facile la vie d’une interne qui croise sans cesse son ex petit copain qu’elle aime toujours mais que parfois elle déteste . Elle décide d’aller prendre une douche peut-être que en prenant une douche sa mauvaise humeur matinal partira, pour Rachel la douche du matin est quelque chose d’important pour avoir une bonne journée du moins pour elle. Quelques instants après elle quitta sa salle de bain elle commençait a déjà avoir un petit sourire sur son visage elle commençait a avoir une certaine envie d’aller au boulot car chaque jour qui passe elle apprend des choses a propos de la médecine bien sur est c’est un peu ça qui la motive a aller travailler. Elle se donne a fond dans ce qu’elle fait la médecine est tout pour elle aujourd’hui elle veut devenir un grand médecin et elle va le devenir car quand Rachel veut quelque chose elle doit l’avoir car sinon elle va se battre jusqu’a en avoir plus la force. Elle finit par s’habiller de façon simple et normal c’est a dire un jeans et un débardeur noir, un peu de maquillage et elle était prête a aller travailler. Celle-ci prend les clefs de sa voiture et se dirige vers l’hôpital, elle n’habitait pas si loin que ça de l’hôpital mais elle n’avait vraiment pas envie de marcher et puis si elle peut aller en voiture pourquoi pas ? Une fois arrivée a l’hôpital celle-ci gare sa voiture et se dirige vers l’entrée une fois entrée elle va dans les vestiaires pour aller se mettre en tenue pour aller travailler une fois prête pour aller travailler celle-ci sort des vestiaires et commence a marcher sans faire trop attention ou elle marchait et qu’est ce qui arrive quand on ne fait pas attention ou on marche ? D’habitude soit on tombe soit on tombe sur quelqu’un que on avait pas envie de tomber et c’est bien le cas de Rachel elle tombe sur Dorian. C’est qui ce Dorian ? Pour Rachel c’est tout simplement le résident le plus canon de l’hôpital et son ex petit copain dont elle est toujours amoureuse, parfois elle couche avec mais elle a tendance a vouloir lui faire croire qu’elle le déteste . Par moments elle a peur de ne pas se retenir et de lui lâcher le mot “ Je t’aime” c’est vrai c’est très effrayent surtout que c’est un de vos ex …
« Et bah voila, ma journée commence déjà de la meilleure façon » Lui dit-elle avec un petit sourire, elle passait tout son temps a l’éviter et voila qu’elle tombe sur lui alors qu’elle n’avait pas du tout envie de le voir, et puis c’est ce qui arrive quand vous travaillez avec votre ex petit copain et le plus dure c’est qu’il faut pas montrer aux autres qu’il y a un malaise entre eux mais bon après tout Rachel s’en fiche elle veut tout simplement faire correctement son boulot c’est ce qu’elle veut de plus ...
« Alors docteur Lawson, vous allez bien? » A vrai dire elle s’en foutait complètement s’il allait bien, bon elle ne s’en foutait pas vraiment pas du tout mais elle voulait qu’il croie qu’elle s’en foutait et qu’elle demandait sa d’une façon narcissique …
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| Sujet: Re: Je te deteste mais je t'aime tellement . Lun 11 Aoû - 2:30 | |
| Aux yeux de Dorian, rien n’était plus horrible, affreux, et inhumain, que d’arriver à son travail en retard. Il ne cessait de réprimander ses internes à ce sujet, leur répétant sans cesse que c’était un manque de politesse et de respect. Pourtant, ce matin là, c’est lui qui arriva en retard, et bien évidemment, il eut droit à quelques regards peu ravis de la part des internes croisés dans les couloirs. C’était compréhensible, d’un côté, parce que tout le monde était fort pour donner des conseils et apprendre aux autres comment il fallait se comporter, mais quand ça nous concernait personnellement, on faisait souvent comme si de rien n’était, et fermait les yeux sur nos erreurs. Il n’avait pas à s’en vouloir après tout, il n’était même pas coupable ! C’était son réveil qui n’avait pas sonné… Ou peut-être ne l’avait-il pas entendu, parce qu’il dormait à poings fermés après la soirée qu’il avait passé… Qu’importe, de toute manière, personne n’a besoin de connaître tous les détails. En marmonnant « Simple panne de réveil » pour la énième fois, espérant qu’on cesse de le foudroyer ainsi du regard, Dorian s’engouffra dans l’ascenseur vide et appuya sur le bouton du deuxième étage, serrant contre lui quelques dossiers médicaux. Il était fatigué, - et même si c’était uniquement de sa faute, et qu’il n’avait qu’à dormir au lieu de faire la fête, - Dorian avait la garantie d’être de mauvaise humeur pour toute la journée à venir. Non pas qu’il allait mal travailler, loin de lui cette idée. En tant que professionnel, et il se considérait comme tel sans jamais douter de ses capacités, le jeune homme ne défoulait jamais sa colère sur les patients. Il lui arrivait de râler gentiment, de leur répondre d’une manière qui ne leur plaisait pas toujours. Parfois, il se payait même leur tête avec Aiden, ce qui était très rare, avouons le, et puis, il pouvait avoir ce genre d’attitude uniquement quand la situation le permettait. C’est vrai quoi, - quand un patient guéri revient vous voir parce qu’il trouve que ce n’est pas normal qu’il n’ait plus de symptômes, il y a de quoi se taper la tête contre le mur et de plaisanter. On n’en a pas souvent l’occasion, lorsqu’on a un métier comme le sien, alors il faut en profiter quand ça arrive. Quelque chose lui disait pourtant qu’aujourd’hui, il n’aurait pas la chance d’être confronté à un de ces cas ridicules et marrants, et qu’il devrait essayer tant bien que mal de canaliser sa mauvaise humeur, pour ne pas s’emporter au moindre faux pas, ou alors… Se défouler un peu sur ses internes – ils étaient habitués, de toute manière, depuis le temps. Dorian passa la tête par les portes de l’ascenseur qui s’ouvrirent avec un léger bruit métallique, et les yeux légèrement plissés, comme s’il guettait quelqu’un, regarda à droite et à gauche. Quelques résidents, des titulaires, des internes toujours aussi maladroits et pressés, mais aucune tête connue. Auraient-ils pressenti sa mauvaise humeur matinale, et cherchaient à l’éviter ?... Dorian poussa un soupir déçu, et finit par sortir de l’ascenseur, ayant remarqué quelques coups d’œil suspicieux et intrigués que lui lançaient ses collègues. Certains avaient beau travailler avec lui depuis un bon moment, ils ne parvenaient toujours pas à le cerner et à comprendre certaines de ses réactions. Plongé dans ses réflexions, le résident commença à longer le couloir, feuilletant les dossiers médicaux qu’il avait prit à l’accueil, en arrivant. Rien de très intéressant, médicalement parlant, - juste de la bonne et vieille routine, ce qui n’était peut-être pas si mal. Il avait besoin de se calmer les nerfs, et il n’y avait rien de mieux que des examens cardiologiques habituels, quelque chose qu’il connaissait par cœur maintenant. Tout en continuant d’étudier rapidement les dossiers des patients, Dorian se demanda s’il pourrait tenir toute la journée après la très mauvaise nuit qu’il venait de passer. Quand on manque de sommeil, il y a toujours quelque chose qui nous déplaît, quelque chose qui nous énerve… Chez Dorian, c’était quotidien, et pour cette raison, quand il ne dormait pas bien ou pas assez, il devenait incroyablement râleur, insupportable et détestable – encore plus que d’habitude, oui. Il aurait bien lâché un juron, lorsque quelqu’un le percuta, s’il n’était pas aussi cultivé. Il se contenta de serrer les dents, et esquissa un sourire forcé en découvrant de qui il s’agissait. Rachel. De mieux en mieux. Comme si tout n’allait pas suffisamment de travers déjà, il fallait qu’il la croise maintenant. Quoi que, il y avait toujours 98% de chances qu’il la croise, puisqu’ils travaillaient ensemble, mais c’était quand même… énervant.
« Docteur Grey. » grinça-t-il des dents, le sourire crispé toujours aux lèvres. « J’allais très bien jusque là. » répondit-il en insistant sur les mots, comme s’il craignait qu’elle n’en comprenne pas le sens.
Entre eux, c’était la guerre froide depuis quelques temps. Ils trouvaient toujours un prétexte pour se disputer et se chercher, même quand rien ne présageait ce genre de retournement de situation. Dorian n’avait rien contre Rachel, mais s’en voulait toujours de s’accrocher à leur passé commun. Pourtant, ce n’était pas difficile pour lui, d’oublier des filles qu’il rencontrait. C’était même… trop facile, parfois. Mais elle avait toujours son mot à dire, une remarque sanglante, une réplique pleine de sarcasme. Et il ne l’avouerait sûrement jamais, mais son caractère lui plaisait drôlement. Sans parler de son physique, qui ne l’avait jamais laissé indifférent. Dorian en était plus que persuadé, - il n’existait pas sur cette terre un homme normal et intelligent, qui serait capable de rester indifférent devant elle. C’était chimiquement parlant impossible.
« Toujours aussi délicate à ce que je vois, avec votre manie de foncer tout droit sur les gens. » rajouta-t-il d’un ton moqueur, en haussant les sourcils. Elle avait bien le droit de le provoquer, pourquoi ne pouvait-il pas lui renvoyer la pareille ? Il n’allait tout de même pas la laisser avoir le dernier mot, ce serait totalement contre ses principes. Il se taisait dans des cas exceptionnels, notamment lorsque son poste ou sa réputation était en danger. Dieu merci, ce n’était pas lui l’interne, et Rachel ne représentait pas une menace pour son avenir professionnel. |
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| Sujet: Re: Je te deteste mais je t'aime tellement . Lun 11 Aoû - 13:58 | |
| Ah Dorian … Pourquoi est-ce que il faut que on croise toujours les personne que on ne veut pas ? C’est vraiment insupportable de tomber sur Dorian c’est pas qu’elle n’aime pas le voir on entende sa voix non pour elle c’est ce qu’il y a de mieux au monde mais ce qu’elle déteste vraiment c’est que a chaque fois il y a une dispute même si très souvent il y a pas un sujet de dispute il faut qu’ils en trouvent, c’est pas de la faute de Dorian c’est aussi de la faute de Rachel elle le sait et tout le monde le sait mais elle en veut a Dorian parce qu’elle n’arrive pas a l’oublier, elle a toujours cru que Dorian était un garçon comme les autres qu’elle allait l’oublier vraiment vite mais plus les jours passent plus elle se rend compte que c’est si difficile voir impossible de l’oublier . Peut-être que dans quelques ans elle l’aura oublie mais c’est beaucoup trop dur pour elle de le voir tout les jour et de ne pas pouvoir l’embrasser et lui dire “Je t’aime” mais bon elle n’allait tout de même se laisser faire oue j’admet Rachel adore avoir le dernier mot, elle a toujours quelque chose a dire ça fait parti de son caractère. Parfois Rachel se rendait compte que ses collègues ici au boulot ne l’aimait pas tant que ça, bon elle savait qu’il y avait des gens qui l’aimaient beaucoup mais pas ceux qu’elle aimerais. La relation entre Rachel est Dorian est très bizarre en ce moment on ne sait pas ce qui se passe entre eux, ils couchent souvent ensemble, mais le jour suivant ils commencent a s’engueuler c’est bizarre c’est vrai mais peut-être qu’un jour ils finiront ensemble qui sait ? Mais si ça arrive les disputes et tout ça doivent pas les accompagner sinon c’est sur que ça va vite être finit . Rachel a toujours été une fille extrêmement jalouse, quand elle sortait avec Dorian elle était jalouse mais elle ne s’inquiétait pas trop car elle avait 100% confiance en Dorian mais aujourd’hui savoir qu’il peu coucher avec n’importe qu’elle fille, n’importe quand, n’importe ou ça fait vraiment mal au coeur a la belle rousse elle sait qu’il ne lui appartiens plus mais c’est dur pour elle de savoir que maintenant il est libre de faire ce qu’il veut avec qui il veut c’est une des choses les plus dures pour Rachel, elle souffre déjà beaucoup de savoir qu’il n’est plus avec elle, qu’il ne l’aime plus et de savoir qu’il peut coucher avec d’autres filles ca lui tourne la tête … Bon quand il lui sort que’il allait très bien jusqu’a maintenant Rachel le regarde, elle ne savait pas qu’elle pouvait changer l’humeur des gens c’était nouveau pour elle …
« Dorian ses changements d’humeur comme ça c’est pas normal, faut aller voir un vrai médecin » Je vous l’avez dit elle aime avoir le dernier mot et puis elle a toujours quelque chose a dire, souvent elle ne veut pas dire ce genre de choses car même si ça ne fait ni chaud ni froid a Dorian elle n’aime pas être aussi “ méchante” avec celui qu’elle aime c’est quelque chose de très dur pour elle, mais elle ne peut pas non plus se laisser faire de cette façon . « Et puis je désolée j’avait oublie le fait que tu ne soit pas normal je m’excuse » Lui dit-elle avec un joli sourire, hah mon cher Dorian si seulement je savait ce qui se passe entre nous …
Quand celui-ci lui sort qu’elle etait toujours aussi délicate avec sa manie de foncer droit dans les gens, celle-ci ne peut pas s’empêcher de rire car c’est très bizarre car c’est de cette façon qu’ils se sont connus « Oue cette délicatesse de foncer sur les gens je la garde que pour toi, car je sais que tu l’aimes pas vrai docteur Lawson » |
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| Sujet: Re: Je te deteste mais je t'aime tellement . Lun 11 Aoû - 15:49 | |
| « Quoi, vous n'êtes pas au courant ? » s'exclama-t-il en exagérant bien évidemment sur ses émotions d'étonnement. « Je pensais que tout l'hôpital le savait, que j'allais voir un psychiatre ! » poursuivit-il avec ironie. « Y a tellement de gens qui font tout pour m'énerver, c'est un lourd poids que je dois porter sur mes épaules ! »
D'accord, il n'allait voir personne, en vérité, il mentait comme il respirait. Mais sincèrement, il y avait de quoi se demander si ce n'était pas une bonne idée, avec toutes les émotions négatives qu'il ne cessait d'accumuler depuis quelques temps. Il y avait tellement de choses qui lui tombaient dessus d'un coup. Si encore, ça concernait son travail, il ne se plaindrait même pas, pas une seule seconde. Il adorait son métier, adorait relever les nouveaux défis, aimait se prouver qu'il n'avait aucunement peur des difficultés. C'est dans sa vie privée, que tout allait de travers. Peut-être était-ce dû au vieillissement, - une crise de la trentaine, qui sait ? Mais il avait de plus en plus de mal à s'en tenir à ses propres principes. La preuve, il était là, en train de s'énerver pour un rien, tout simplement parce qu'il parlait à une de ses ex petites-amies. Il y a encore quelques années, voir même quelques mois, il ne se serait jamais emporté à cause d'une telle connerie. Il donnait trop d'importance aux gens qui l'entouraient, et ça, c'était quelque chose à ne surtout pas faire. Parce qu'il était non seulement persuadé que personne ne lui rendrait jamais la pareille, mais en plus, il rejetait toute possibilité de s'attacher à quelqu'un, de sorte à avoir une relation sérieuse, durable, où régnait la confiance. C'était pénible, ces histoires d'amour. Ça n'apportait pas grand chose, à part une euphorie momentanée qui finissait par se dissiper un beau matin, et laissait place aux regrets et à une douleur fichtrement amère, - un grand vide, quelque part dans notre âme. On tombe amoureux, on sautille partout, les oiseaux chantent et le soleil brille. Puis arrivent les nuages, les disputes, les désaccords... Et finalement, on se réveille un jour, on réalise que les sentiments se sont estompés, presque effacés. Et chacun recommence sa vie, loin de l'autre. Dorian refusait d'accepter l'idée qu'il pouvait y avoir des exceptions. Pour lui, tout ce qui était lié aux relations humaines et à l'amour, ça finissait incontestablement par un désastre. C'était tellement plus facile de savoir qu'on ne devait rendre des comptes à personne, qu'on n'avait pas à se justifier. Et que même si on se séparait, ça ne ferait pas aussi mal, parce que quelque part, on s'y attendait déjà, à un tel dénouement de situation. Ce qui l'embêtait, à cet instant même, c'est qu'il n'avait pas réussi à se détacher de son passé lié à Rachel, comme il aurait voulu. Ils avaient rompu, tout allait bien dans le meilleur des mondes, la vie avait reprit son cours habituel... Seulement, quand ils se sont revus, bien plus tard, au lieu de se détester en silence, ou bien faire comme si de rien n'était, et qu'ils étaient des inconnus l'un pour l'autre, Rachel et Dorian s'étaient égarés vers un chemin de complicité et d'amitié qui s'avéra être un terrain incroyablement dangereux. Pourquoi n'y avait-il pas de loi, qui interdirait toute relation amicale entre deux ex, sachant que dans n'importe quel cas, ça finirait en catastrophe ? Il y avait tellement de souvenirs... Tellement de moments qu'ils avaient partagés, tous les deux. Ils auraient dû se tenir à distance, lorsqu'ils ont découvert qu'ils allaient travailler ensemble, ça aurait peut-être aidé à éviter cette situation des plus étranges dans laquelle ils se trouvaient aujourd'hui. Un sentiment de malaise, qu'ils essayaient tous les deux à dissimuler derrière un masque d'indifférence et de colère. C'était même plus de la frustration, que de la colère.
« C'est fou ce que vous me connaissez bien. » râla-t-il avec un sourire moqueur aux lèvres. C'était difficile de ne pas la tutoyer, mais il refusait d'impliquer le côté personnel dans son travail. Surtout qu'ils n'étaient pas seuls, et que les couloirs grouillaient de résidents et d'internes qui, même s'ils n'en avaient pas l'air, étaient toujours à l'affut de nouvelles rumeurs et de nouveaux ragots. « Dites donc, Docteur Grey... » insista-t-il à nouveau sur la fin de sa phrase. « Vous n'avez pas un patient à voir ? Je m'en voudrais de vous retenir... Vous avez un graphique d'interne bien rempli, il me semble. » |
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| Sujet: Re: Je te deteste mais je t'aime tellement . Lun 11 Aoû - 17:26 | |
| Rachel en a marre de toutes ses disputes inutiles, ils passent leur temps a chercher un sujet pour s’entre tuer alors qu’ils devraient parler et faire la paix ... Enfin bref faut dire qu’aujourd’hui c’est déjà un peu trop tard pour faire quoi que ce soit, le mal est fait et c’est impossible qu’ils décident d’arrêter de ce bagarrer alors que c’est quelque chose qui plaît a Rachel et apparemment a Dorian … Rachel a toujours cru que Dorian serait un simple gars avec qui elle est sortie et elle pensait qu’aujourd’hui elle l’avait déjà oublie que Dorian c’était du passé mais non elle ne l’a toujours pas oublier et elle ne va sûrement pas l’oublier du jour au lendemain mais elle devait se donner a fond car a chaque fois qu’elle le voit elle n’a qu’une seule envie c’est de lui dire ce qu’elle ressent envers Dorian et lui dire combien elle souffre avec toute cette histoire mais si elle lui dit qu’elle souffre c’est pire encore c’est mieux de faire semblant qu’elle ne souffre pas et qu’elle a déjà oublie ce beau brun qu’elle aime plus que tout au monde quoi que elle ne sait plus ou elle en est … Peut-être qu’elle doit se trouver un autre petit copain peut-être que c’est la seule façon d’oublier Dorian pour de bon ou alors peut-être qu’elle doit changer d’hôpital et couper tout lien avec celui-ci, mais elle doit faire quelque chose elle ne peut plus continuer a vivre de cette façon c’est impossible de continuer a vivre comme ça … Elle n’arrête pas de penser aux bons moments qu’elle a passé avec Dorian, aux choses merveilleuses qu’il lui a dit quand ils étaient encore ensemble elle aimerais juste revenir en arrière pour comprendre ce qui a bien pu détruire leur relation qui avait l’air si belle et solide mais qui ne l’était pas du tout . Après une relation comme celle la la seule chose qu’ils font c’est se dire des choses blessantes et s’éviter au fur et a mesure de la journée, parfois coucher ensemble mais rien de spécial comment ils on pu en arriver la ? Comment est-ce que c’est possible qu’ils en soient arrives la ? Quand Dorian lui sort qu’il allait voir un psychiatre la belle rousse peut pas s’empêcher de sourire, quand il finit par dire qu’il y a tellement de gens qui font tout pour l’énerver la belle rousse comprit tout de suite que cette belle remarque était en parti pour elle , elle ne fessait rien pour l’énerver elle voulait tout simplement lui montrer a sa façon qu’elle avait déjà tourner la page et qu’il n’avait plus sa place dans la vie de Rachel ce qui est totalement faux … La belle rousse trouvait leur disputes complètement ridicules elle finit donc par le prendre par la main et l’entraina dans un coin ou il y avait personne qui passait …
« Nos disputes ça commence a me gonfler et c’est du pur n’importe quoi » Lui dit elle en le regardant droit dans les yeux … Pour une fois elle était prête a avoir une conversassions correcte avec lui. « Tu crois que ça va nous mener ou ? Je commence a en avoir marre de souffrir de cette façon Dorian »
Elle continuait a le regarder droit dans les yeux elle attendait une réponse correcte et sincère de Dorian ... Pas de mensonges peut-être que de cette façon ils arriverons a se dire et a s’avouer ce qu’ils ressentent … « J’ai pas encore vu ce que j’ai a faire aujourd’hui, mais je sortirais pas d’ici tant qu’on aura pas finit de parler » |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je te deteste mais je t'aime tellement . Mar 12 Aoû - 16:23 | |
| Elle avait raison, au moins sur un point. Leurs disputes étaient ridicules, et il en était parfaitement conscient. Le nier ne servirait à rien, sauf à se mentir à soi-même. Dorian avait toujours pensé qu'il était quelqu'un d'honnête, et de très franc. Peut-être même l'était-il un peu trop, par moments, mais il ne s'en rendait compte que trop tard, généralement. Il disait ce qu'il pensait, il n'avait pas peur d'affronter la vérité, aussi effrayante qu'elle pouvait paraître. Pourtant, avec Rachel, il ne cessait de se mentir. Il voulait croire dur comme fer qu'en dépit de tout, ce n'était qu'une question d'habitude, et d'attachement sans importance, qui finirait par se dissiper un jour ou l'autre. Il ne voulait pas admettre que pour une fois, il allait contre ses propres principes et lois - il continuait d'éprouver quelque chose pour une femme qu'il avait quitté de son plein gré. Pourtant, il était persuadé que leur rupture n'était pas une erreur, et que c'était mieux ainsi, pour tous les deux... Pour résumer brièvement, il se contredisait, voilà tout. C'était en effet difficile à comprendre comment ils en étaient arrivés là. Le fait qu'ils s'engueulaient sans raison apparente, qu'ils se faisaient la guerre inutilement, et que de toute façon, ils avaient beau se dire qu'ils se détestaient, ils finissaient par enfreindre toutes les règles et se laissaient un peu trop emporter par leurs impulsions. Rachel était ravissante, elle avait du caractère, - c'était incontestablement la petite amie dont on ne pouvait que rêver. Il y avait de nombreux types qui lui couraient après, et pourtant, elle continuait elle-aussi de s'accrocher à son passé commun avec Dorian. Il se laissa entraîner vers un coin un peu plus tranquille, et plongea son regard sombre dans celui de Rachel. Il avait encore une fois envie de protester, mais il ne fit rien, et resta silencieux.
« Quoi qu'on fasse, Rachel, on est dans une impasse. » finit-il par soupirer, en se passant une main sur le visage, l'air fatigué. « On peut pas s'éviter éternellement, parce qu'on travaille tous les deux ici, mais on peut pas rester ensemble plus de deux secondes parce qu'on pète un câble. »
Il était en colère, parce qu'il ne pouvait pas tourner la page. Parce qu'au lieu d'oublier définitivement tout ce qui pouvait le lier à Rachel, il semblait s'y accrocher tout bêtement, craignant certainement de perdre le peu de confiance qui lui restait en la nature humaine. Rachel avait beaucoup compté dans sa vie, plus qu'il ne l'aurait voulu, mais ce n'était pas quelque chose qu'on pouvait contrôler, et il devait bien se rendre à l'évidence, à un moment. Il se sentait bien, quand il était avec elle, à l'époque où ils étaient ensemble. Et il avait eu tellement peur de tomber amoureux, de voir leur relation évaluer vers quelque chose de sérieux, qu'il avait préféré couper les ponts, avant que ça ne devienne encore plus pénible. Il était persuadé qu'avec du temps, et du recul, il finirait par comprendre que ce n'était qu'une aventure comme une autre. Ils en avaient souffert tous les deux... Dorian posa ses deux mains sur le visage de Rachel, se penchant un peu vers elle pour la regarder droit dans les yeux, son front pratiquement collé contre le sien.
« Je ne voulais pas te faire souffrir. Jamais. » avoua-t-il dans un murmure, doux et sincère. « C'est une raison de plus, pour ne pas rester ensemble. Il faut qu'on apprenne à ne pas être influencés par nos sentiments, peu importe ce qui a pu se passer entre nous il y a quelques mois. Soit on reste des inconnus l'un pour l'autre, soit on reste amis, même si je sais que ce sera dur. Mais je suis pas un type bien, Rachel. Pas celui qu'il te faut. J'ai fais pas mal de conneries, dans la vie, et je sais que je ne pourrai jamais t'apporter tout ce dont tu as besoin. » termina-t-il dans un souffle, se raclant doucement la gorge en voyant le regard troublé de Rachel. Un peu maladroit, il l'embrassa sur le front, remettant quelques mèches rebelles de ses cheveux roux derrière ses oreilles. « Ici, on est au travail, et on se doit d'être des professionnels. » |
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