Cette semaine, l'hôpital est inspecté. Restez sur vos gardes, Trager rôde... |
|
| Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] | |
| | Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] Lun 25 Aoû - 21:14 | |
| Tip top ready for the sky And I tip top ready to go « Cher journal, On a beau croire que tout est beau, que la vie nous sourit… C’est faux. Oh, bien sûr que non, je ne suis pas dépressive. Juste réaliste. Il n’y a qu’à regarder ma vie ; je ne suis pas la plus heureuse du monde. J‘ai beau avoir de l’argent, j’ai beau travailler dans un des meilleurs hôpitaux du monde pour ne pas dire le meilleur, ma vie sentimentale est loin d’être rose. Oui, je sais, il y a pire, et je ne suis pas la seule à me plaindre, mais j’ai bien le droit de me lamenter sur mon sort au moins une fois, je ne demande pas la Lune. Je suis toujours célibataire, je n’ai rien dit à Douglas, et il y a Aristid… Je ne sais pas si je te l’ai déjà dit, alors je vais une fois de plus le raconter. C’était il y a à peu près deux mois maintenant. J’étais au bar, normal, et il y avait comme d’habitude plusieurs personnes de l’hôpital. Et alors que je commandais un deuxième verre, il est venu s’asseoir à côté de moi… Aristid Lowell. Oui, tu sais, le bel interne hyper sexy, qui a un sex appeal tellement grand que toutes les femmes de l’hôpital sont folles de lui. Et bien nous avons couché ensemble, le soir même. Je ne sais pas ce qu’il m’est arrivé, sûrement que je n’ai réfléchi sur le moment. Je ne me suis probablement pas contrôler. Enfin tout ça pour dire que je ne referai jamais la même erreur, pas deux fois. Depuis, je l’évite, j’essaye de ne lui parler que quand j’y suis obligée, j’essaye de ne pas le regarder. Et puis Douglas… Une histoire compliquée que je préfère te raconter une autre fois. De toute façon, je dois y aller. »Extrait du journal intime d'Alanis Jenkins.C'était un mardi. Un mardi comme les autres, en tout cas en apparence. La jolie Alanis Jenkins devait aller travailler, ayant passé la nuit chez elle, à son grand soulagement. Oui, car parfois on y reste toute la nuit, à l'hôpital. Heureusement pour elle, il n'y avait pas de grands cas cette nuit. Alanis avait réglé son réveil sur 6 heures, car elle ne commençait pas "hyper" tôt, une heure à peu près normale, on va dire. Son réveil la réveilla avec une douce chanson, ce qui la mit de bonne humeur. Un bon point pour la journée. Un léger rayon de soleil éclaira le délicieux visage d'Alanis, qui ouvrit doucement les yeux pour ensuite se diriger vers la salle de bain. Une bonne douche chaude ne peut faire que du bien. Puis Alanis opta pour une tenue simple, pas besoin de s'embêter, elle devait juste aller travailler... enfin normalement. Un mignon débardeur bleu, avec un slim en jean. Rien de plus simple. Elle enfila ensuite de jolies ballerines noires, prit son sac et un encas, et partit. Arrivée à l'hôpital, elle n'avait qu'un cas, et elle s'en occupait avec Svetlana. Les deux amies travaillèrent avec le sourire et cela dura au moins toute la matinée. Elles déjeûnèrent également ensemble. L'après-midi, pas de quoi s'exciter, quelques patients, la routine... Par contre, en fin d'après-midi un cas intéressant arriva, ce qui mit Alanis enthousiaste. Elle bossa dessus avec d'autres internes pendant plusieurs heures, jusqu'à ce qu'enfin elle eut une pause. Dehors, il faisait nuit noire, et Alanis préférait rester au chaud. Elle se dirigea vers les vestiaires, pour rentrer dans la salle de repos, mais quand elle poussa la porte, une mauvaise surprise apparut. Il y avait là... Aristid. Alanis n'avait aucune envie de lui parler, ni même de le voir. Elle baissa juste les yeux.« Je crois que je ferai mieux de partir. »[ Post minable, mais je suis pas douée pour le commencement >.< ] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] Mar 26 Aoû - 1:43 | |
| « On ne mélange jamais le travail et le plaisir… -Rooh ! Même pas un peu… ? » Aristid… On pourrait parler de lui pendant des heures. D’ailleurs c’était le cas de pas mal de femmes au sein de cet hôpital. Il attirait l’attention sur sa personne, et cela sans même vraiment le vouloir la plupart du temps. On remarquait bien évidemment son physique des plus avantageux, il plaisait et en profitait pleinement. Mais c’était aussi un sacré numéro ! Certains le trouvaient imbuvable, ne le supportaient pas… On pouvait le trouver prétentieux, cynique, et j’en passe des meilleurs. D’autres, déjà moins nombreux, l’appréciaient pour une facette de sa personnalité qu’il cachait au grand public. C’était une sorte de carapace en fin de compte ce comportement désinvolte, ces provocations répétitives, cette petite comédie. Le sale gosse qu’il était, s’amusait, et son terrain de jeu ou même de « chasse » par moment, était tout simplement l’hôpital. Les opportunités ne manquaient pas en ce lieu à vrai dire !
En effet, ce n’était pas rare de voir le jeune interne aller et venir dans les couloirs, passant d’un cas à un autre, travaillant avec professionnalisme, et lâchant pourtant à tout moment une petite réflexion à qui se présentait sur son chemin. Il était dans son élément, comme un poisson dans l’eau, alors il se comportait un peu « comme à la maison » si vous voyez ce que je veux dire. N’allez pas croire non plus qu’il ne savait pas se tenir. En face d’un supérieur par exemple, il ne se permettait pas n’importe quoi. En fait, il avait plusieurs facettes, réservées à différentes personnes. Rien de plus simple, non ?
Aujourd’hui encore, Aristid était de bonne humeur. Pas mal de gens voient le travail comme une corvée, mais lui c’était tout l’inverse. Il aimait ce qu’il faisait, se passionnait pour son boulot. Pour imager cela, on pourrait dire qu’il l’aimait autant qu’il appréciait la gent féminine. Il avait commencé en début d’après midi, ayant été de garde la nuit derrière. Les quelques patients qu’on lui avait attribués étaient simples, pas de quoi se casser la tête pendant des heures, et ce n’était pas plus mal finalement. Il pouvait bosser en gardant une part de légèreté dans son comportement. Traversant le couloir, il croisa une collègue, interne tout comme lui, tenant dans sa main un sachet en papier qu’il aurait pu reconnaître entre tant d’autres : un sachet de la pâtisserie à l’angle de la rue ! Il passa donc à côté de cette jeune femme, et lui piqua ce dit paquet.
« Oh fallait pas… Merci d’avoir pensé à moi ! -Hey ! Non mais… -C’est sympa, j’avais rien demandé en plus ! »
Et hop il poursuivit son chemin. L’interne ne réclama pas son dû, car elle savait très bien comment Aristid était. Ce n’était pas la première fois qu’il le faisait… De plus, il venait de croquer dedans. Tsss !
« Au chocolat, mon préféré ! »
Il avait une pause et il en profitait. Normal, non ? Bon ok, ce n’est pas commun d’en profiter en volant la petite douceur chocolatée d’une autre interne. Mais c’est Aristid hein ! Il fait rarement comme tout le monde. Il jeta un coup d’œil à l’horloge au fond du couloir, et décida de prendre sa pause. Et là, rien de mieux que d’aller se détendre non pas en allant griller une cigarette dans la cours, mais simplement en se rendant dans la salle de repos. Il n’y avait jamais personne là-bas, de quoi être tranquille pendant un moment ! Il s’y rendit donc, et une fois sur place, il ne perdit pas de temps pour se servir un café. Il faut bien accompagner le beignet voyons ! A peine eut-il son gobelet en main qu’il entendit la porte s’ouvrir. Quoi ? L’aurait-on suivit ? C’est la petite brune qui voulait sa pâtisserie, c’est ça ? Il se retourna et vit alors non pas une brune mais une jolie blonde. Pas n’importe laquelle… Alanis Jenkins. Et elle ne semblait pas ravie de le voir, comme à chaque fois qu’ils se croisaient depuis un certain temps ; depuis qu’ils avaient couché ensemble. Un peu plus et elle le faisait douter de cette nuit. Il se posait un tas de questions à son sujet, mais ne laissait rien paraitre, fidèle à lui même.
« Pourquoi ça ? Je te fais peur… ? Je me pensais, certes, impressionnant, mais pas à ce point ! »
[C'est pas mieux...] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] Dim 31 Aoû - 14:24 | |
| On aurait pu penser qu’Alanis Rose Jenkins était une petite peste. Niveau physique, Dame Nature l’avait bien gâtée ; grande, blonde, mince, que demander de plus ? Certaines filles auraient pu être jalouses… Ce qui fut le cas au collège et au lycée. Mais la belle étant plutôt populaire, les plus jalouses étaient celles qui intéressaient le moins les garçons. D’ailleurs, en parlant de garçons, Alanis eut de la chance de ce côté-là. Comme elle leur plaisait, ils voulaient souvent être avec elle. Mais la jeune femme n’étant pas naïve, elle ne se laissait pas faire facilement. Pourtant, des garçons, elle en a vu ces vingt-sept dernières années. Petite, Alanis aimait déjà beaucoup les garçons. Ayant toujours sa petite cour, elle fut rapidement habituée à ce que les garçons lui tournaient autour. D’ailleurs, même en grandissant, Alanis eut toujours sa petite cour personnelle. Beaucoup de filles l’enviaient, mais c’était comme ça et puis voilà. Mais croyez-moi, Alanis était loin d’être une SAF – sans amis fixes pour les incultes. Etant très populaire, les principaux amis de Blondie étaient eux aussi populaires. Filles, comme garçons. Tout cela pour dire que notre Blondie internationale était populaire, avait des amis et plaisait aux garçons.
Alanis était une jeune femme qu’on aimait… ou qu’on détestait. La blondinette avait un fort caractère, et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Plus d’amis que d’ennemis, rares étaient ceux qui lui en voulaient vraiment. La plupart étaient bien sûr jaloux, car la belle pouvait être considérer parfois comme quelqu’un de fantastique. Dès qu’une personne la hait sans explications, Alanis essaye de savoir pourquoi. C’est ce qui s’était passé avec Calliope. Les deux jeunes femmes s'entendent à merveille aujourd'hui, grâce à Alanis qui a eut le tact de les coincer dans l'ascenseur. Mais ce qu'on ne pouvait pas reprocher à Alanis, c'était bien son travail. Blondie adorait ce qu'elle faisait, et la médecine était un peu comme une vocation pour elle. D'ailleurs, elle avait sympathisé avec plusieurs personnes grâce à son investissement dans ce qu'elle faisait. En plus de cela, elle le faisait bien, même très bien, ce qui plaisait beaucoup à ses supérieurs, même si elle était en froid avec son résident, Hedi Pritchard. Mais c'était tout autre chose. Chaque jour à l'heure - ou presque, mais que quand elle a un problème - la ponctualité au travail était son fort. Très organisée également, elle savait toujours quoi faire, quand, où.
Quant à sa vie sentimentale, Alanis était un peu perdue. Entre Douglas qui faisait chavirer son coeur, et par exemple Aristid qu'elle évitait, rien n'allait plus. Douglas et elle, c'était d'abord une histoire d'amitié. Mais quand les sentiments prennent le dessus, rien ne va plus. Mais ce qu'elle ignorait, c'est que lui aussi éprouvait des sentiments, et pendant ce temps lui ne savait pas ce qu'elle ressentait. Autant vous dire que c'était compliqué de tous les côtés. Ca pouvait paraître simple, mais ça ne l'était pas. Quant à Aristid, ça elle-même ne savait pas. D'accord, ils avaient couché ensemble, une fois en plus, mais rien de mal. Pourquoi l'évitait-elle ? Peut-être même qu'elle ne le savait pas tout simplement. Mais le voir ne lui plaisait pas. Elle ne lui parlait même pas, sauf quand ils avaient un patient en commun. Mais c'était tout.
Le fait qu'ils soient là tous les deux dans cette pièce les rendaient un peu idiots, surtout Alanis qui ne dégnait même pas le regarder... mais c'était avant qu'il ne prenne la parole. Il avait opté pour l'ironie, alors elle allait lui répondre ironiquement.« Mais tu es terrifiant Aristid, tu ressembles au grand méchant loup, tu sais. J’ai peur rien qu’à te voir. »[ Sorry pour le retard et la médiocrité >.< ] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] Mar 2 Sep - 23:37 | |
| Aristid savait être sérieux. Tout aussi sérieux qu’il pouvait être taquin, ou même encore pervers, curieux, têtu, joueur, ironique... Il savait l’être dans les bonnes situations, quand cela était nécessaire, voir obligatoire. Mais quand il pouvait se relâcher, croyez-moi qu’il n’y avait pas besoin de le lui dire 2 fois, il en profitait pleinement. D’ailleurs ce n’était pas un hasard si on retrouvait parfois le jeune homme entrain de s’amuser au sein de l’hôpital. Il y avait de quoi en plus ! Avec son meilleur ami, lui aussi travaillant dans le centre hospitalier, ils avaient pour habitude de se lancer toutes sortes de défis, du plus simple au plus tordu. Et c’était souvent Aristid qui avait droit à ces derniers. Assez fier, il ne disait que rarement non, et relevait avec brio le moindre challenge. Il était capable de tout, se moquant alors de ce qu’on pourrait penser de lui par la suite. Il y allait avec finesse, en faisant attention à la façon qu’il avait d’aborder la situation. Bref, il n’avait encore jamais été pris, n’avait jamais eu affaire à de quelconques sanctions ou encore conflits avec l’une de ses « victimes ». Car parfois ils mêlaient d’autres personnes à leur petit jeu, sans que celles-ci ne soit au courant. C’était sans doutes les défis les plus amusants quand on y repensait !
Aujourd’hui, pas de défi en vue, et un comportement plutôt sérieux. Enfin jusqu’à l’heure de la pause. Qu’est-ce que je vous ai dit déjà ? Dès qu’il pouvait, il se relâchait, se décontractait, et sans cela il aurait sans doutes déjà perdu la tête. La vie d’interne est éprouvante mine de rien, et le jeune homme avait besoin de ces petits instants. Comme là, cette pause il l’avait bien mérité, et il la commençait même en volant un beignet. Ce à quoi il ne s’était pas attendu était le fait qu’il se retrouve dans cette pièce et qu’une charmante jeune femme passe le seuil de la porte quelques minutes à peine après lui. Une jolie blonde, qui malheureusement le fuyait depuis un petit moment déjà, sans qu’il ne sache vraiment pourquoi. Il avait bien remarqué qu’elle refusait de lui adresser le moindre regard, et ses premiers mots confirmèrent alors ces pensées. Elle ne voulait toujours pas le voir… Il y alla de sa petite réplique, avouant être conscient qu’il pouvait l’impressionner, mais gardant une certaine modestie en ajoutant qu’il n’en avait pas imaginer tant. Bien évidemment il ne se prenait pas au sérieux… Enfin quoique…
« Mais tu es terrifiant Aristid, tu ressembles au grand méchant loup, tu sais. J’ai peur rien qu’à te voir. » -répondit-elle avec le même brin d’ironie qu’avait pu avoir Aristid. Il souria à cette réponse, la détaillant alors du regard. Elle était jolie aujourd’hui, comme tous les autres jours de la semaine d’ailleurs… Ca il se cachait bien de le lui dire, mais si elle avait daigné lui adresser ne serait-ce qu’un regard, elle aurait très facilement pu le lire dans ses yeux bleu. Bien évidement il vit dans les paroles de la jeune femme, une très belle perche, qu’il ne pu s’empêcher de saisir.
« Et le grand méchant loup a-t-il droit de croquer sa jolie proie ? »
En l’occurrence : elle ! Mais ça, elle le comprendrait bien vite, dès que son regard se poserait sur lui, si ce n’était pas déjà le cas. Connaissant Aristid, elle avait y lire avec une grande simplicité l’allusion à laquelle il faisait. On ne changera donc pas Mr. Lowell comme ça, du jour au lendemain, en l’ignorant. Ca aurait été bien trop facile en plus de ça ! Il la cherchait, la taquinait, cherchait des limites. Et puis il voulait comprendre en plus de ça. Pourquoi ce silence après cette nut pourtant si... Les mots ne parvenait pas à passer le seuil de ses lèvres. Besoin de savoir le pourquoi du comment, et pour ça il fallait la faire craquer, la faire parler. Elle allait bien finir par cèder, non ? |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] | |
| |
| | | | Je n'ai rien à te dire... la salle de repos est libre. [ Aristid <3 ] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|