• RUSSELL, maxine ; infirmière de choc •

(c)MISERY ANGEL

RUSSELL
Maxine Ophelia

« encore mieux que le jeu emma infirmière de choc »

I. Identité

Nom : Russell
Prénoms : Maxine Ophelia
Age : Vingt six ans
Lieu de naissance : Liverpool
Nationalité : Anglaise
Emploi : Infirmière


II. Histoire

Depuis que je suis une enfant, ou plus particulièrement depuis mon entrée à l'école primaire, j'ai toujours rêvé le soir en m'endormant qu'un jour un grand réalisateur m'appelle et me lance d'un air froid dont un seul on le secret: je vais faire un film sur ta vie. Oui... j'ai toujours fais des rêves bizarres, je crois même que j'ai toujours été un peu étrange, anormal, pas comme les autres. J'ai toujours été une sorte de folle: une tarée. D'où ce rêve qui avait prit l'habitude de se répéter toutes les nuits, depuis je n'y pense plus trop, surtout après un essaye avec une amie, un peu après avoir volé la caméra de mon père qui a finie sa vie dans une flaque d'eau ce jour là. Parfois, j'avoue qu'il m'arrive d'y repenser en m'endormant et je rigole de cette période, alors je m'imagine se que serait la bande d'annonce de "mon" film. Oui. Tous les films ont une bande d'annonce à se que je sache, pourquoi pas le mien. Je pense que les premières images seraient prise de la scène que j'appellerais: la rencontre. Je me serais débrouillée pour avoir des jets d'eau devant cette petite bâtisse légèrement délabrée. L'ancien vidéo-club, le plus vieux, le plus ancien de Liverpool. Le premier. Une voiture d'occasion sur le parking, un homme en sort. Il marche dans une flaque d'eau, le bas de son pantalon est maintenant trempe, il lâche une injure et continue sa route. Il pousse la porte du magasin et casse le nez à une jeune demoiselle qui vient de se faire larguer et qui venait chercher sa drogue du week-end pluvieux qui s'annonçait: des films à l'eau de rose. Elle pleurait sans doute mais ça ne se voyait pas, ses yeux étaient déjà aussi rouge que ce d'un lapin et avec les gouttes de pluie coulant sur sa joue, on ne pouvait distinguer les larmes. Le nez en sang elle lancerait un « Oh ! Fuck ! » et elle lèverait ses yeux vers ce jeune homme. Voila comment est né l'amour qui a uni Juliette et Lohan Russell, mes dignes parents. Pour le reste de cette bande dannonce on verrait simplement des images de ma vie, de mon enfance, de mon adolescence, de mes fêtes, mes premières sorties en boîte de nuit, mes longues et ennuyantes études dont mon père est tellement fier, mon examen d'infirmière pas mal réussit et mon entrée de cet... hôpital. Puis, je n'aurais plus qu'a espéré que les commentaires seront bons. Chut, ça commence.

Je crois bien que je suis née le 23 janvier 1983, enfin je pense bien. En fait, si mes parents et le registre des naissances n'a pas mentit je suis bien né ce jour là. « Oh my god ! Peut-être que j'ai été adopté... ce qui explique que je ne ressemble pas à mes parents. » C'est une question existentiel, qui ne sait jamais posé cette question: personne. Non, c'était dans l'espoir de vous faire rire, ou du moins sourire, je n'ai pas été adopté, je le sais. Oui, voyez-vous, ma mère est ce genre de personne qui aime les souvenirs, elle est ce genre de personne qui pense que les souvenirs sont importants car une fois que la personne à disparue il ne nous reste que ça. Alors, avec toutes les photos et vidéos qu'elle a prise de moi quand j'étais plus jeune je pourrais même dire que j'étais une top-model dès ma naissance. Avec un peu de chance, si je réunis toutes les photos je pourrais faire mon propre "book"... Pourtant, il n'est pas photographe. Bref. Tout ça pour vous dire qu'à chaque Noël, à chaque anniversaire et autres célébrations dans le style, la famille avait droit à toutes les photos et vidéos. Oui, je me suis vu sortir du vagin de ma mère, expérience assez gênante je dois dire. Je me suis vu toute poisseuse et couverte de ce liquide blanchâtre. Je me fous, j'étais déjà mignonne. Pour le reste de mon enfance je ne suis pas de ce genre de gens qui ont beaucoup de chose à dire... pour moi tout était très simple: merci mon dieu. Je n'ai jamais eu une vie très passionnante, même si cela ne m'aurait pas trop déplut. Enfin, quand même, je ne me vois pas en Indiana Jones. Moi, j'aurais aimé vivre à New York et faire partit d'une de ces riches familles qu'on voit dans les séries. Bordel, la chance qu'ils ont ces petits merdeux qui passent leurs journées dans les plus grands magasins du monde. Moi, Maxine Ophelia Russell, je suis né à... Liverpool. Comme tout le monde j'ai déjà déménagé et j'ai donc vécu à... Liverpool, deux rues après mon ancienne maison. Enfin, je ne peux rien y faire ma famille à toujours vécut à... Liverpool. Enfin j'ai déjà voyagé quand j'étais jeune, oui, je me souviens d'un petit séjour à Rome, en Italie, bien sûr. C'était assez sympathique, les gens sont accueillant, les garçons sont tous beaux et c'est un réel plaisir d'admirer ces sculptures d'hommes nus et musclés comme un dieu.... Et.... Et... J'en perds mon latin tellement c'était sublime. Au fait, j'ai oublié de préciser que c'était un voyage scolaire. D'ailleurs à l'école j'avais beaucoup d'amis, je ne sais pas trop pourquoi mais je pense que les gens sont attirés par moi tout simplement parce que je suis une folle dingue. Oui, mais amis ont toujours été fous ou folles, comme moi, mais quand même un peu moins, donc avec moi à leur côté ils paraissaient intelligents, chose qu'ils ne sont pas bien sûr. Non, ce n'est pas trop mon style les intellos avec les grosses lunettes, c'est pour ça que je déteste Harry Potter: sale chien de sorcier de merde à chiottes, dégage avec ta pourriture de cicatrice et donc école de bonne sœur ! Puis, un jour, j'ai eu mes règles. Heureusement que ma meilleure amie avait des tampons. Non, elle n'avait jamais eu ses "ragnagna", elle trouvait juste que: « Bin, oui, Maxine. Réfléchis un peu.... Les garçons ils adorent ouvrir nos sacs et les fouillaient pour nous voler des trucs, alors quand ils voyent mes tampons ils se disent que je suis une fille super mûre, alors là c'est le coup du siècle. En deux minutes je me retrouve dans les chiottes en train de faire tu sais quoi... hein, hein ! tu vois ce que je veux dire, hein ! » Note pour moi-même: cette jeune fille en question, Noémie, est encore pucelle à vingt six ans. Bref. Ce jour-là je suis devenue une femme, ma mère à pleuré parce qu'elle était contente, et oui fille unique alors ça fait bien, et mon père était assez content mais il m'a aussi une bonne calotte... Pourquoi déjà ? « A partir d'aujourd'hui je suis une femme... une vraie femme, vous ne pourrez plus me traiter comme une petite fille. Papa, comme je suis une femme, que maman pleure comme une madeleine, je veux bien une carte bleue. Avec laquelle je serais raisonnable, bien sûr...» « Mais pourquoi tous les jeunes de ta génération veulent des cartes bleues ? Moi quand j'avais ton âge je devais avoir cinq euros par moi, pas plus, pas moins et je m'en sortais quand même. Vous vous prenez pour des gosses de riches ou quoi ?! Bon. Pourquoi tu aurais besoin d'une carte bleue ? » « Pour m'acheter des trucs, quoi... » « De toute façon c'est.... c'est non ! Tu n'as pas besoin du truc comme ça ! Tu n'as rien de utile à acheter alors non. » « Et... et si, je peux toujours m'acheter des capotes, j'en ai besoin en ce moment d'ailleurs et puis si je veux prendre la pilule, hein ! » Voila. C'est comme ça que j'ai attrapé cette fichue claque, je me souviens encore du bruit que ça a fait. Parfois il me revient et... Non, en fait je m'en fou totalement, par contre je me souviens bien de la trace. Oh, oui, une bonne trace sur ma joue, une grosse trace rouge que j'ai gardé pendant deux jours ce qui a bien sûr causé une bonne rigolade avec mes camarades. Je ne sais pas pourquoi mais au collège j'ai toujours été la folle, celle qui fait rire tout le monde mais aussi celle qui adore les commérages ! Je ne parle pas beaucoup de ce point là parce que généralement ça fait fuir les gens, ils ont peut-être peur que je sache des choses que je ne devrais pas savoir... Je tien ça de ma mère, du moins je crois. Je ressemble un peu aux filles dans cette série, vous savez, Desperate Machin-Chose-Siew, là... Je me considère exactement comme cette fille, belle, intelligente et commère. Je me souviens que déjà en maternelle je savais tout sur tout. J'espionnais mes professeurs et je m'empressais de raconter aux autre que « Madame Burroughs c'est qu'une péripatéticienne de toute façon ! Ouais, je l'ai vu avec un mec, c'est un noir avec des tatouages partout. C'est une pute je vous dis. » J'y allais un peu fort, OK.... Ou sinon y a avait ça aussi: « Ohé, tout le monde ! Louis il a trompait Jade avec la nouvelle, la honte pour elle. » Ça c'était plutôt au collège en fait... Depuis Louis a quitté Jade, je me souviens que c'était le grand amour de sa vie, il avait même couché avec elle. C'est pour dire. Il comptait faire sa vie avec elle. Depuis c'est un mec désespéré, il est au chômage, célibataire, un petit penchant pédophile et je crois qu'il m'évite quand je le croise à Liverpool. Je sais vraiment pas pourquoi, ça doit être un con de toute façon. Bref. Arrêtons tout ce commérage est passons maintenant à l'école, le sujet le plus ennuyant, emmerdant, tout ce que vous voulez tant qu'on ne tombe pas dans la vulgarité, je ne permet pas. Donc, avant toute chose il faut savoir que mon père est médecin, c'est le genre de mec qui pense que la médecine est la chose la plus importante dans la vie. Mais je vous rassure, c'est aussi la chose la plus ennuyante dans la vie. En tout cas, il a toujours voulu que je travaille dans ce milieu. Il est vrai que l'idée ne me déplaisait pas, j'ai toujours aimé les séries TV dans le style de Urgence. Quoi ? C'est excitant. Bref. A la base j'étais partit pour faire psychologue, mais comme le professeur de psychologie ne m'appréciait pas trop (j'avais tagué sa vieille voiture avec des amis) je me suis lancé dans... les études d'infirmière. J'étais assez forte dans ce milieu, je le reconnais, puis un jour j'ai eu mon petit diplôme et je suis entrée dans le London James Hospital de Londres. La suite au prochain épisode de ma vie: amour, gloire, médecine et beauté. Et commérage, bien sûr.

Allô Docteur :
J'ouvre les yeux. Je tends mes bras dans le lit: oui, je n'ai pas remmené de mec hier soir. Je me demande quelle heure il est: 8H00. Et j'embauche à ? 8H30. Sans rien demander à mon petit cerveau d'infirmière mal payée je me lève d'un bond, pense à mon chef qui va sans aucun doute m'engueuler pendant toute la journée, voir le mois, je brosse mes cheveux me fait une petite "retouche" maquillage et je fonce en direction de l'hôpital.
Mon dieu... Je suis allée en boîte toute la nuit. J'ai la gueule de bois. Un arrière goût de champagne dans la bouche, un petit mélange de bière et de gin.

« Bonjour tout le monde ! C'est une belle matinée qui s'annonce mais malheureusement nous vous rappelons qu'une grève touche Londres. Bonne journée quand même, sur LONDON FM.»
« Bordel ! Je vais me faire tuer, mon chef va me tuer, je vais mourir. DIEU PROTÈGE MOI DE CE CONNARD !»

Je sors à toute hâte de ma voiture, je me prend cette foutue porte en pleine fasse, je cours comme une idiote vers l'ascenseur, un patient qui me le ferme dessus, j'appuie sur le bouton qui comme d'habitude ne fonctionne pas, tant pis j'arrête ici je monte par les escalier, j'arrive essoufflée, je ne retrouve plus ma belle blouse et...

« RUSSELL TU ES EN RETARD ! »
«Oh mon dieu, chef, si vous pouviez savoir. Hier soir j'ai eu une terrible nouvelle, je n'ai pas dormis de la nuit et je me suis réveillée trop tard... Désolé, mais... »
Des sanglots, encore des sanglots...
« Russell. »
« Qu...Qu...Quoi ? »
« Tu pus l'alcool. »
« Merde. »

Je considère mon chef comme l'homme le plus sadique au monde, on ne peut pas faire pire de toute façon. De plus, je sais qu'il aime bien donner des petites punitions aux personnes qui ont fait une faute, vous savez un peu comme à l'école primaire. Encore heureux qu'il n'ait pas de bonnet d'âne... Je suis sûr qui aurait pris des photos et qu'il les aurait diffusé sur internet. Bref. Comme punition je devais m'occuper d'un nouvel interne. Bien sûr, en temps de grève, le résident chargé de faire attention à ce jeune garnement manquait à l'appel. Le jeune homme était assez mignon, voir sexy. Grand, blond, les yeux bleus océan, une musculature des plus impressionnantes, tout à fait mon style d'homme. Tout à fait le style d'homme que je mettrais dans mon lit avant la fin de la journée. Quelle, chance, beaucoup de chambres sont libres ces temps-ci. Je sors de mes pensées légèrement perverses, je me concentre sur mon travail de "baby-sitters" tout en espérant ne pas faire une nouvelle faute; ce qui me couterait une bonne liste de garde de nuit le week-end.

« Bon... on va pas trainait pour ce mettre au travail. Je suppose que tu n'as pas envie de passer ta journée à travailler comme un fou, moi non plus, ce qui est plutôt un avantage. En plus il y a des grèves, je pense que tu es au courant, nan ? Bref, donc on a deux fois plus de travail donc deux fois plus de temps à perdre pour soigner ces petits merdeux qui viennent se plaindre à tout bout de temps tout ça parce qu'ils ont la chiasse et qu'ils ont peur de se vider totalement. T'inquiète à part les vieux ta pas à les essuyer... Non, je rigoles, je te bizute un peu.... jeune padawan. »
« OK. OK. OK. Et... mais attends. Tu serais pas une patiente en psychiatrie qui se fait passer pour une infirmière tout ça pour se casser d'ici, hein ?! M'ouais avoue, c'est ça ! »
« Je rêve ou tu m'insultes là ? Attends t'as pas le droite de faire ça mon vieux, c'est insulte à agent là. Tu te prends pour qui ? Anakin Skywalker ou quoi ? Je fais te faire comme dans Star Wars trois, je vais te couper les jambes et les bras, je vais te faire cramer et tu reviendra sur terre dans une armure de merde. Là je te crèverais, sale petit merdeux d'interne ! Maintenant t'arrête de me saouler et tu commences par aller voir cette vieille, tu lui demandes ce qu'elle a et tu fais le blabla habituel. Occupe-toi bien d'elle, je vais boire un café. »

Moi, infirmière indigne ? Non, juste une gentille petite infirmière qui demande qu'à faire son travail et pas s'occuper des nouveaux internes. Quel honte. J'étais donc partis vers le bureau du personnel boire mon petit café matinal que je n'ai pas le temps de prendre chez moi. Après en avoir but des tonnes, après avoir été au toilette quatre ou cinq fois, je suis retourné voir mon jeune padawan, apprenti médecin. OH MY GOD. Le bras de la vieille femme était en sang.

« Me dis pas qu'elle ta insulté et que tu te venges en essayant de la tuer ?! »
« Non. Non. Elle avait mal au bras depuis maintenant un mois donc j'ai essayé de voir, je sais plus trop ce que j'ai fais et elle s'est mis à saigner et... Putain, aide moi !»
« C'est toi l'interne, pas moi... Pff... Si les infirmiers étaient pas là, vous feriez quoi... »

Un petit sachet remplit de poudre blanche tomba par terre. Il sortait de la blouse de l'interne, je m'accroupis et en ramassa une poignée que je reniflais à plein nez.

« Je sens bien que c'est pas de la farine ce truc... »

Comme d'habitude je du arranger la situation, tout le monde s'en sortir assez bien, la vieille femme avec pas mal de points, l'interne partit vers son école et moi enfin une histoire à raconter aux autres.

III. Personnalité

- Profil Moral
Secrets :

- Divorce. Personne ne le sait à l'hôpital, beaucoup de ses amis ne le savent pas, sa famille est par contre au courant. Même si cela peut-être difficile à croire avec ses aires de célibataire endurcie, Maxine a été divorcé une fois de l'homme de sa vie: Gerry. Pour sa défense, son ancien mari la trompait souvent avec des amies.
- Diplôme. Personne n'est au courant, puisque c'est un secret, mais même pas sa famille. En fait, le jour de son examen, Maxine avait une fois de plus la gueule de bois, elle avait but toute la nuit et donc impossible de passer le concours correctement. Pour avoir son diplôme (il lui manquait quelques points), elle a couché avec le correcteur.
- Harcellement téléphonique. Quand Maxine était au collège, elle avait pour habitude, lorsqu'elle n'aimait pas un professeur, de chercher son numéro de téléphone et de harceler régulièrement avec des insultes, des blagues, etc...

Particuliarité :

- Elle fume depuis l'âge de treize ans, avant elle se droguait.
- Elle mange énormément de glaces, surtout lorsqu'elle déprime.
- Elle aime beaucoup "détruire" le jardin de son voisin, un vieil idiot.
- Elle aime beaucoup aller chercher son journal nue pour que ses voisins la voit.
- Elle est une grande fan de la saga Star Wars, elle y fait toujours référence.


IV. Book List

Ce personnage étant un personnage inventé, il ne possède encore aucun lien pour le moment.


V. Hors Jeu

Avatar : Mila Kunis, la belle et l'unique. (:
Fille ou garçon : Garçon. Je ne voyais aucun avatar masculin pour le rôle d'un(e) commère.
Comment avez-vous connu Complications : Une publicité sur le forum Bazzart.
Commentaire : Ce forum est vraiment sublime, un grand bravo aux administrateurs.

Ian Spencer a écrit:

MILA TROP¨bon choix.

Pour ce qui est de l'avatar, il est de Woody Pepper.

Maxine Russell a écrit:

« Bonjour tout le monde ! C'est une belle matinée qui s'annonce mais malheureusement nous vous rappelons qu'une grève touche Londres. Bonne journée quand même, sur LONDON FM.»
« Bordel ! Je vais me faire tuer, mon chef va me tuer, je vais mourir. DIEU PROTÈGE MOI DE CE CONNARD !»

« RUSSELL TU ES EN RETARD ! »
«Oh mon dieu, chef, si vous pouviez savoir. Hier soir j'ai eu une terrible nouvelle, je n'ai pas dormis de la nuit et je me suis réveillée trop tard... Désolé, mais... »
Des sanglots, encore des sanglots...
« Russell. »
« Qu...Qu...Quoi ? »
« Tu pus l'alcool. »
« Merde. »

Géant.

Bienvenue (a)