Hamlet Jayleen Road-

I. Identité

Nom :

Road. Signifie route. C'est à chercher dans sa généalogie pourquoi la belle se nomme Road. Une question d'ancêtre je présume.

Prénom :

Jayleen est connu pour ses prénoms pas bien méchants, non. Mais ma foi étrange. Sa mère était une fan obsessionnelle d'Hamlet, la pièce de théâtre connu de William Shakespeare. Soit Hamlet comme prénom. Trouvant cela trop poussée à l'extrême, son mari, préféra tous de même mettre un prénom originale et qui correspondrait tous à fait à la belle. Soit Jayleen. Deux prénoms principale. Qu'elle apprécie énormément. Et puis c'est suivie de trois prénoms secondaire. Carlotta, à la mémoire de sa grand mère, Maureen pour le deuxième nom de sa mère, et Elta pour le fun.

Age :

D'après sa date de naissance, il y aurait 26 ans de cela.

Lieu de naissance :

Jayleen est née à Londres au milieu des années 8o. Dans le quartier de West London.

Nationalité :

Elle possède deux nationalité. L'une parce qu'elle y ait née, et qu'elle y réside, soit Anglaise, et la deuxième, par ses origines, l'Irlande.

Emploi :

Résidente depuis cette année. Toute jeune certes, mais très expérimentée. Spécialisation en neurologie.

II. Histoire

Allô Docteur :

Juste pour préserver le côté mystérieux que je donne souvent à mes personnages, je ne mettrais qu'une partie de sa vie. J'aime le mystère.. Suivre dans le prochain post.

III. Personnalité

- Profil Moral

Secrets :

Secret signifie quelque chose qui n'est pas révélée au grand jour. Et sa porte très bien son nom. Il se trouve que parfois il ont été dit. Jayleen à sauté une année de son cursus scolaire. C'est vrai que je n'ai pas important, mais d'après elle ça change la façons de la voir. Car notre belle Hamlet est une jeune femme très brillante, et qui fais souvent face à des propos du style l'intello, une chose qu'elle ne supporte pas du tous. Ce surnom elle l'a trainée jusqu'à son internat, jusqu'au jour où elle sauva elle même un homme coincée entre deux gros rocher qui aurait déboulée. Un jour où elle passait sur le chemin. Un jour où un respect s'installa, et où elle obtenu l'honneur de ses supérieurs.

Lors d'une intervention de son internat. Elle a laissait l'homme mourir. Une faute qu'elle n'a pu se résoudre à oublier. Une erreur complètement absurde, bien que c'était sûr la demande du dernier. D'humeur suicidaire, il ne voulait plus vivre. Jayleen l'a d'abord résonner, mais a finit par céder. Elle ne supporte plus le nom de Jake, le prénom du patient. Une journée trop émouvante, et catastrophique. Une journée où elle a pu perdre sa carrière. C'est aussi un jour où elle rompu avec un garçons à qui elle tenait beaucoup. Vivement ce genre de journée..

Elle a eu un cancer du cerveau dit aussi tumeur, à ses dix sept ans. Une rescapée d'un Méningiome. Bien que beaucoup de personne survivre, quand celle ci est maligne, ils perdent tous quelques choses. Soit ils sont paralysée du côté droit- Visage, bras, jambe- soit il perdent le sens de la concentration, de la confusion et donc une perte de l'autonomie de la personne. Depuis sa radiothérapie, et ses nombreuse chirurgie, Jayleen n'a toujours pas eu de récidive. Bien que c'est fréquent à son âge. Elle continue chaque mois à faire une batterie de test en cas où quelques choses de suspect se mettrait en place. Elle n'en parle pourtant jamais. Bien que quelques personnes, amis ou pas connaissent la vérité sombre de sa jeunesse.

Particuliarité :

Hamlet tous comme ça mère est une jeune femme qui aime la littérature anglaise. Tous les grands noms, et les grandes œuvres, elle les a lu. La plupart pendant son admission à l'hôpital lors de sa tumeur. Et les autres, pendant son enfance. Elle a toujours appréciée les pièces de théâtre ainsi que les grands romans fictif, mélodramatique et, romantique.

Jayleen est une jeune femme très mystérieuse avant tous. Elle ne parle pas énormément. Préférant garder le silence, quand elle ne connaît pas. Bien heureusement, tous cela se passe en dehors de son lieu de travail, et vis à vis de ses amis. Laissant, le côté mystère tous de même. Elle parle facilement à un patient, et à ses amis proche. Bien que ses petits secrets, elle se les gardes pour elle-même. Disant que cela pourrait ennuyer les gens, que ce n'est pas important.

Elle paraît très froide au premier abord. Pourtant, c'est un vrai cœur, elle est juste réticente à connaître de nouvelle personne hors de son travaille. Il faut dire que c'est une fana de son job de résidente. Elle transgresse parfois les limites des 72 heures, mais elle ne peut s'en empêcher de venir. L'hôpital est le lieu qu'elle préfère avant tous.

Jayleen est une grande artiste. Elle joue régulièrement du piano, une grande virtuose, qui n'exploite pas c'est talents au profit des gens. Elle garde pour elle c'est morceau, et elle n'aime pas jouer devant les gens. Une particularité que des gens ne comprennent, vu que quand il l'ont surpris, elle jouait magnifiquement bien.

Road ne prends jamais de petit déjeuner chez elle. Trouvant ça comme une perte de temps. Et puis niveau culinaire, c'est catastrophique. Alors tous les jours, elle se paye un café en venant au centre hospitalier. Devant l'entrée, réside un petit marchand, un petit snack. Alors tous les matins, elle se poste devant et s'achète du café, ou parfois du thé.

IV. Book List

MIKHAIL L. CAVALLI

Spoiler:

Trois ans. Cela faisait trois ans qu'il était parti. Et Los Angeles ne lui manquait pas tant que ça. Il avait, bien évidemment, réussi à passer à autre chose. Mais les blessures étaient toujours aussi profondes, elles étaient juste masquées sous un voile d'indifférence et de sarcasme. C'était un masque qu'il portait à merveille, à présent. L'ancien Mike, ses rêves, ses projets, tout ça semblait oublié. Et ce n'était pas une si mauvaise chose.

« AIE, BORDEL DE MERDE ! »

des petits cris hystériques, mêlés à tout un tas d'autres jurons et autres bruits bizarres, le forcèrent à relever la tête alors qu'il ramassait le journal, déposé le matin même sous sa porte. Il jeta un regard moqueur à la porte d'en face, et un sourire amusé naquit sur ses lèvres.

« Ça va, Road ? »

lança-t-il sur un ton joyeux en feuilletant le journal. La porte s'ouvrit, laissant échapper un énorme nuage de fumée. L'odeur de brûlé le fit grimacer de dégoût. Il faut dire qu'avec une mère qui travaillait comme chef de cuisine dans un grand restaurant à New York, Mike était habitué à l'évidence que toutes les femmes savaient cuisiner. Toutes, sauf sa voisine - Jayleen, qui apparut au milieu de la fumée, le pointant du doigt.

« Tais-toi ! Je sais ce que tu vas me dire. Elle a encore raté la préparation de ses crêpes, oh la la, ce qu'elle est pas douée... »

l'imita la petite brune avec un regard noir avant de toussoter à cause de la fumée dans le couloir.

« Des crêpes ? »

répéta-t-il avec un air incrédule

« Je croyais que tu faisais un barbecue improvisé dans ton appartement ! »

elle grogna face à sa remarque, le faisant rire à nouveau. Lui prenant les deux grandes cuillères des mains, il entra chez elle, essayant toujours de chasser l'épais nuage de fumée grise au passage.

« Qu'est-ce que tu fais ?! »

s'étonna la jeune femme en le suivant

« J'essaie de t'aider, espèce de catastrophe culinaire. »

« Comme si j'avais besoin de toi ! »

« De moi, je ne sais pas, mais de mes talents en cuisine, certainement. »

« Je n'ai pas... »

commença-t-elle à nouveau, mais il la coupa.

« Wellington, va t'asseoir et ferme la pendant que j'essaie de sauver ton petit-déjeuner. D'ici dix minutes, tu vas me remercier. Et tomber amoureuse de moi, sans aucun doute. »

« Ah ah... »

marmonna la jeune fille avec un air morbide, mais, bizarrement, ne releva pas et n'insista pas non plus.

Depuis ce jour, ces deux-là étaient devenus des amis. Enfin, amis était peut-être un trop grand mot. Plutôt potes. Jayleen venait souvent "squatter" chez Mike - surtout quand elle avait faim et qu'elle avait la flemme de se faire à manger. Mike, de son côté, passait pratiquement tous les dimanches soirs chez elle, car la jeune femme s'était abonnée au câble et qu'il pouvait regarder ses matchs préférés. Et des films X, une fois que Jay s'endormait. Par contre, il se faisait toujours taper lorsqu'elle recevait la facture.

V. Hors Jeu

Avatar :

Zooey Deschanel

Fille ou garçon :

Fille

Comment avez-vous connu Complications :

Bazzart (L)

Commentaire :

Aucun

John Churton Collins a dit : Si nous n'avions plus de secrets les uns pour les autres, serai-ce une source de réconfort ?
J'avançais d'un pas déterminé, un air froid se dessiner peu à peu sur mon visage pâle. Étais-ce juste la peur qui se formait en moi, et qui se cacher derrière la colère ou avais-je simplement la ferme intention, comme chaque mois de renouveler mes scanners. Mes pas résonnèrent dans les froids couloirs de l'hôpital. Je trônais sur mes hauts talons cirée, me semblant déjà plus haute par rapport aux autres. Bien que les basket étaient recommandé, je détestais les porter, ou juste une paire de converse. Les talons me donnais l'air plus froide, plus résidente. Pourtant j'entretenais juste le style que je mettais fabriqué à l'université. Ma jupe taille haute d'un noir profond et mon chemisier d'une blancheur immaculée ne me rajeunissait pas, me vieillissait peut être, mais j'avais l'air d'une titulaire, un rôle que je comptais bien obtenir. Mes cheveux en bataille volaient dans l'air au fil de mes pas. Ma blouse virevoltait. J'étais assez pressée, et je ne m'empêchais pas de parfois pousser quelques personnes se trouvant sur mon passage. Mon point de mire, la salle de l'IRM. Je n'aimais pas être enfermée à l'intérieur de cette grande machine, mais j'y étais contrainte jusqu'à mes derniers jours. Cet vague idée me submergea, pourtant je n'allais pas craquée, ce n'était ni le moment, ni l'endroit de me soumettre à ce que j'étais réellement et non du docteur sympathique sans histoire que je m'étais construis. Allons-y Peter, je n'ai pas du tous envie qu'on me voit maintenant. Dis-je d'une voix calme, et pressée. Je ne pouvais me permette d'être vue, c'était un grand fardeau que je porterais toute ma vie. Une maladie qui m'a déjà détruit la fin de mon adolescence, et elle n'allait pas continuer ainsi. Comme d'habitude Dr. Road ? Me répondit il, s'installant sur son fauteuil. Je m'empressai de lui dire. Comme d'habitude Peter.. Le regard livide, je pris le soin d'enlevés ma blouse, et tous les objets métalliques que je portais, tels que mon collier, et ma gourmette. Puis je m'allongeais doucement sur la table, pris une grande respiration et puis finalement je dis. Je suis prête.. La machine d'imagerie par résonance magnétique se mit en route. Pendant près d'une heure je restais installer à l'intérieur de ce monstre. Je n'avais pas le droit de bouger, d'éternuer ou tous autres gestes.
L'IRM, ou purgatoire étais ce pour moi le mots le plus approprié ? Il était enfin finit. Sur l'écran, il n'y avait rien à signaler. Un long soupire sortit de ma bouche. Un soulagement totale, bien qu'il ne serait que de courte durée. J'adressais un sourire à Peter, qui me le renvoya. Je sortis la tête haute de cette pièce, ma précipita étais toujours là. Cette fois ci, elle était dû à mon bipper qui sonnait et sonnait depuis dix bonnes minutes. J'accélérais le pas. Sachant que j'arrivais tous de même sur le mauvais moment. Les urgences étaient bombés, ils n'avaient en plus pas énormément de personne et une vieille dame faisait un arrêt cardiaque. De loin j'analysais la scène les yeux écarquillés, la vieille dame était morte juste à mon arrivée, et une autre personne venait d'entrer une main sur son ventre qui tenait un couteau dégoulinant de sang écarlate. Je me pressa à sa rencontre, l'amenant sur un brancard le plus proche de moi. Je criais d'appeler le service de chirurgie thoracique, et de prévoir un bloc opératoire. Et mon attention se porta uniquement ensuite sur mon nouveau patient. Monsieur rester éveillé. Quel est votre nom ? Je n'eus aucune réponse de sa part. Il était bien trop concentré à ce tenir éveillée. A regarder devant lui, ce qui se tramait autour de lui. Il resta sans voix jusqu'à qu'on vienne me le prendre pour le bloc. Il essayait de dire quelques choses, pourtant aucun son n'y sortait. Je me précipita vers sa tête, et puis lui adressa une sourire chaleureux, réconfortant. Tous va bien ce passer. Je vous le promets ! Promettre était trop risqué. Il allait y rester, on l'avait étripé de l'intérieur, ça se voyait rien que de l'extérieur. Suis-je au paradis ? me dit-il ? Je marchais rapidement près du brancard qui l'emmenait vers le bloc opératoire, tournant la tête je fus étonnée de voir qu'une petite voix frêle c'était échappée de sa bouche. Vous n'êtes pas au paradis. Soyez fort ! Il ne cherchait donc que ça à ce moment précis, juste se laissait mourir, emporter par la grande faucheuse. C'était réaliste, émouvant comme scène à voir. J'aurais aimée lâcher cette larme qui se contenait en moi.

Invité

bienvenue, et surtout courage.
Par contre, je ne sais pas si tu l'as vu, mais un scénario avec Zooey a été créé il y a quelques dizaines de minutes, juste ici.

Du courage ?! .. Mais neen. Elle est soft cette fiche :DD
Je l'avais pas vu, Juste après que je m'inscrive alors x)
Bon bah, je prendrais ce scénarios xD