Cette semaine, l'hôpital est inspecté. Restez sur vos gardes, Trager rôde... |
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| Svetlana Penetti . Under Construction | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Svetlana Penetti . Under Construction Jeu 31 Juil - 21:12 | |
| La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. I. IdentitéNom : « Ne l'ignore que les imbéciles. Du moins, aurais-je pu le dire il n'y a pas si longtemps. Aujourd'hui, il semblerait que cela ne soit plus vrai. Voyez-vous, je suis une Penetti et cela se passera de commentaire, car cela dit déjà tout. » Prénom : « Je vous vois bien hésiter. Vous êtes donc un ignare, pis, un badaut, ne connaissant rien du monde un temps soit peu influant de votre propre pays, Londres. Eh bien, sachez que je suis Svetlana, interne au London James Hospital. Cela ne vous dit donc rien ? » Age : « Salazar, ne savez-vous pas compter par vous même ? Dans ce cas, je veux bien vous aider. Je me sens d'humeur généreuse aujourd'hui. J'ai 28 ans. Ce n'est pas tout jeune ? » Lieu de naissance : « Existe-t-il question plus impolie à l'adresse d'une jeune femme ? Je pense bien que la réponse soit non. Néanmoins, je vais répondre à cette absurdité. Je suis née en 1980. Les jeunes de la nouvelle générations sont tous des imbéciles ; une bande de m'as-tu-vu que je ne peux supporter. Pour tout vous dire, je suis née un 30 décembre, aux dernières lueurs du jour. Trois semaines en avance [ ... ] » Nationalité : « Certes, tout le monde connait mon ascendance. Je ne suis que la fille, trop riche, d'une famille purs, Russe qui immigra en Angleterre à la recherche d'encore plus de pouvoirs et d'argents. » Emploi : « Je suis Interne à London James Hospital. Je suis une femme accomplie ... moi. J'aime énormément mon travail. III. Personnalité- Profil Moral3 Défauts : Hypocrite . Lunatique . Pessimiste 3 Qualités : Aimable . Adorable . SociableCaractère : « J’aime... J’aime... le calme. Cela dit, j’aime également le contraire. J’aime l’agitation, l’adrénaline qui grimpe doucement le long de ma colonne vertébrale, lorsque j’entreprends un projet qui me tient à cœur. J’adore les orages, les éclairs brisant le ciel noir. J’aime me retrouver dans la nuit avec mon hibou et mes rêveries pour seule compagnie. Ah oui, j’aime rêver. Ce que je n’aime pas ? Oh, c’est plus complexe. J’ai en horreur les nuits de pleine lune. Allez savoir pourquoi ? Evidemment, à cause de mon père. Je l’ai toujours connu ainsi, c’est vrai, je connais son problème par cœur, je sais comment je me dois de réagir. Pourtant, dès que j’aperçois la lumière scintillante de ce satellite, je ne peux retenir cette sensation de froid qui me traverse tous les membres en quelques courtes secondes. La peur, l’échec, peut-être. L’échec ? Je suis paniqué à l’idée d’échouer. Ce qui est affreusement difficile, puisqu’on ne peut pas tout réussir. Les situations que je ne peux pas contrôler m’insupportent, également. J’aime diriger les choses comme je l’entends. » « Des phobies ? »Svetlana n'a pas peur de grand-chose, en effet, elle considère qu'être effrayé revient à devenir soumis, à être à la merci de ce qui nous horripile. Hors, être à la merci d'une petite araignée inoffensive pourrais nous rendre bien plus que ridicule. Pourtant, il y a bien une chose qui effraye Svetlana. C'est la perspective de perdre tous ce qui lui est chair, ses amis les uns après les autres. Elle est de nature lâche, mais elle n'a pas peur de se donner la mort, elle n'a pas peur de se jeter dans la gueule du loup. - Profil PhysiquePhysique : Svetlana est le portrait craché de sa mère. Petite, ses cheveux blonds lui ont d'ailleurs souvent valu des commentaires désobligeants, elle fit l'objet de beaucoup de blagues, mais surtout de jalousie. Plus tard, elle décidera de teindre sa magnifique crinière en brun, histoire de ne plus avoir l'impression d'être une pâle copie de sa génitrice. Svetlana n'est pas consciente de sa beauté, oui, car elle n'est pas du genre à se vanter, cependant elle sait user de son physique pour séduire. Ses yeux sont marrons/noisettes et extrêmement profonds, c'est à travers de ceux-ci que l'ont peu facilement capter les émotions de la jeune fille, intenses et expressifs. Ils la rendent entièrement mystérieuse et capte l'attention de son interlocuteur. La peau de la petite femme est excessivement blanche, telle celle d'un vampire, ce qui fut aussi l'objet de nombreuses railleries, cependant, elle rosie au soleil, sans pour autant bronzer, ce qui l'a toujours déçue, elle avait hérité cela de son maudit père. Je mentionne plus bas le fait que Svetlana ait, enfin, avait, un grand-frère. Elle ne lui ressemblait pourtant absolument pas. Lui était châtain, de naissance, ses yeux étaient verts, mais souvent inexpressifs et il bronzait. Il était parfait, délicieux, magnifique... Svetlana s'habille selon ses envies, elle n'a pas de réel code vestimentaire. Elle ne suit même pas la mode, c'est bien trop prise de tête d'après elle. La couleur qui lui va le mieux est le bleu, qui fait ressortir l'amplitude et la beauté de ses yeux, ou tout du moins c'est celle qu'elle préfère porter, avec le noir, car elle aime se fondre dans la masse tout en restant élégante. IV. Répertoire TéléphoniqueNom + Prénom Icons ou deux Racontez rapidement l'histoire qui lie vos personnagesV. Hors JeuAvatar : Minka Kelly Fille ou garçon : Une Fille XD Comment avez-vous connu Complications : Sur Bazzart. Code : M41WH Commentaire : Le contexte du forum est excellent. J'aime beaucoup le Design.
Dernière édition par Svetlana Penetti le Lun 25 Aoû - 10:08, édité 18 fois |
| | | Inès Kane NESTEADMIN J'ai rendez-vous avec l'IRM
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Complications I-pod: Au revoir Simone ♦ Shadows Niveau professionel: (10/100) Relations:
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Svetlana Penetti . Under Construction Jeu 31 Juil - 22:15 | |
| Merci Beaucoup Je serais absente du 1er au 12 Aout, ma fiche aura donc du retard. |
| | | Inès Kane NESTEADMIN J'ai rendez-vous avec l'IRM
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| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Svetlana Penetti . Under Construction Jeu 21 Aoû - 1:38 | |
| II. Histoire
Extrait du journal de Svetlana Penetti.
« Je suis sans doute en âge de créer mon propre journal et puis je n'ai pas vraiment le choix. Il y a quelques jours j'entamai ma seizième année sur terre et malheureusement personne ne s'en est rappelé [ ... ]
D'où je viens ? Je ne suis pas sûr de le savoir vraiment, même aujourd'hui, des années après ma maudite naissance. Ma ville natale se nomme Moscou, en Russie, détestable pays où il ne fait que neiger, jour après jour, année après année... ô rage, ô désespoir. J'en rage rien qu'à l'idée de devoir m'y rendre pour une quelconque turpide raison. Vous ai-je parlé de mes parents ? Impossible. Je vais donc commencé par le plus banalisé de mes deux procréateurs. J'ai nommé Shana Mélody Rivera, ou tout simplement ; ma mère. C'était une femme d'une beauté, d'un charme et d'une classe démesuré. Pour tout vous dire, je me demande bien ce qu'elle pouvait trouver à mon ignominieux père. Ses yeux débordaient d'amour et de tendresse, si seulement elle avait pu me porter un seul de ses regards qui me plaisaient tant, mais paraissait tellement insaisissable et seulement destinée à mon misérable père. Je vais à présent vous parler de lui, cet ignoble hypocrite qu'il était, tout du moins à mon sens. Son prénom était Brian, original, de direz-vous, chacun sa façon de voir les choses... Bref, cet homme n'avait rien de repoussant, au contraire, à part peut-être son incapacité à brunir au soleil, ce qui faisait que sa peau était démesurément blanche, tel un vampire. Brian rencontra ma mère, aux alentours de dix-sept ans et lui fit un enfant, une petite fille ...
Je suis née un 30 décembre, un jour tout à fait banal pour mon père qui n'était pas un homme très démonstrative ni très affectueux. Ma mère elle, était heureuse et souriante, elle avait cette envie de donner la vie, c'était vraiment beau. Je n'aurais pas pu imaginer ma vie sans sa douce voix qui me berçait le soir ou encore son odeur imposante qui ne cessai de me transporter à chaque fois. Je ne cessai jamais de penser à elle, c'était la femme qui m'avait mise au monde, je l'aimais plus que tout, malheureusement il y a une fin a tout.
Pendant mon enfance, j'étais très heureuse, assez souriante également, joyeuse et heureuse de vivre. Bien sûr à cette époque là, j'avais encore une voix angélique. Très vite, je me suis faite des amis et j'ai pu m'intégrer un peu partout. D'ailleurs, c'était sans doute les plus beaux jour de ma vie. Lors de mon 7ème anniversaire, mes parents me programmais déjà un grand avenir avec un homme riche et assez beau. Je ne savais pas trop de quoi ils me parlaient mais ils voulaient absolument que je me marie. »
Les magnifiques yeux noisettes de Svetlana se posaient sur le paragraphe qu'elle venait de poser sur la feuille de papier. Elle resta dans cette position quelques instants, revivant les souvenirs comme si elle était revenue quelques années en arrière. Un soupir .. Elle trempa le bout de sa plume dans l'encre avant de réfléchir à ce qu'elle allait mettre. Elle recommençait alors à écrire, le bruit de la plume brisant le silence.
« Après ma naissance, ma vie ne fut qu'un ramassis de mensonges ignobles, de compliments sans une once de sincérité. Elle fut dépourvue d'amour, de compassion, je n'avais d'intérêt que pour moi-même et pour l'unique amour de ma vie, mon grand-père. C'est peut-être un peu excessif de ma part de le qualifier de cette manière, mais d'après ses dires, j'étais son rayon de soleil, une de ses dernières raisons d'exister. Quand j'apercevais son visage je m'illuminais telle une luciole déchirant faiblement les ténèbres mélancoliques de la nuit. Ce qu'il pouvait être bon, généreux, à m'offrir tout ce dont j'avais besoin, tout ce que je désirais. J'en demandais tant et pourtant si peu, juste de l'amour, de l'amitié, de la tendresse, ce que personne d'autre ne pouvait me procurer de cette façon là. Mais revenons plutôt à un point plus importants, le jour où mon père m'annonça que je n'étais pas sa fille ... »
Flash Back
J'ai quatorze ans aujourd'hui, mais comme chaque année, je suis la seule à m'en être rendu compte. Les heures passaient, le temps semblait bien plus long qu'il ne devrait l'être. A table, les plats passaient et repassaient devant moi sans que j'y goûte, dégoûtée par les dires de ma famille. Mon esprit se vidait peu à peu, hébétée. Me détachant peu à peu des discussions sonores de ma parenté, je pris conscience du vacarme répétitif qui provenait de l'étage au-dessus. Discrètement, je m'éclipsais de la tablée, marmonnant discrètement des injures adressées à mes grands-parents maternels, eux étaient encore bien vivants à mon grand désespoir. Ils avaient le don de m'insuporter avec leurs remarques bilieuses, dépourvues de jugements objectifs. Je montais à présent les escaliers, veillant à ne pas faire grincer ces horribles marches vieillottes, bien que ce fut complètement inutile car j'entendais déjà mon père hurler à mon égard. « Je t'interdis de quitter la table sans y avoir été invitée. » Le tintamarre continuait dans la salle à manger entre rires et débats enflammés autour de sujet dont je ne saisissais pas l'importance. Je clignais des yeux, feignant de n'avoir rien saisi. Je croyais entendre mon père m'adresser la parole pour la première fois, comme cela pouvait être agréable ! Dans une insolence ardente je montais une marche de plus et comme je l'avais désiré, sa voix rageuse s'éleva à nouveau et d'une telle manière, avec une telle ampleur que plus un sons ne se fit ouïr. « Svetlana Irina Penetti ! Je te somme de descendre tout de suite ! » Je tremblais, comme il était doux de l'entendre articuler les syllabes qui formaient mes prénoms et mon nom. Et ô, comme il savait bien les prononcer, je tolérais presque qu'il me nomme par mon prénom premier. J'en voulais plus. Sans réfléchir, je me jetais en avant, grimpant avec acharnement le reste des marches qui s'étendaient dans le gigantesque escalier. Et je riais, je riais à m'en étrangler. J'avais six ans, je jouais avec mon adorable père qui m'aimait, m'adorait, aurait donné sa vie pour me sauver. Il me plaisait de penser à cette éventualité, pour quelques secondes perdues. Je m'engouffrais à présent dans ma chambre, aux couleurs pâles, apaisante, où mon géniteur me rattrapa furieux. Il claqua la porte, fixant le plafond avec insistance, visiblement réellement contrarié. Curieuse, je levais la tête et découvrait ce qui avait fait l'objet de mon intérêt un peu plus tôt à table, oui, j'avais pendant un instant de grâce, oublié le tumulte qui provenait de cet endroit. La main délicate de mon père se posa sur ma bouche tel un avertissement. Pourquoi me portait-il tant d'attention en ce jour maudit de décembre. Quand allait-il, bon sang de bon soir, faire sortir cette abominable bête de ma pièce sacrée ? « Svetlana, chuchota-t-il, es-tu capable de garder un secret » Bon sang, mais de quoi pouvait-il parler ? J'acquiesçais, complètement tétanisée. Puis il sembla se rétracter. Il ôta sa main de ma bouche et continua ; « Lorsque ta mère décida d'avoir un enfant, je n'était pas en mesure de le faire. Je n'avait pas les capacités va t-on dire ... Enfaite, ta mère à eu recourt à la science pour te créer. Je ne suis pas ton père biologique, mais je t'aime comme tel ... Tu comprends ma petite fille ? »
" Ma petite fille " ? Pour qui me prenait-il ? J'avais effectivement tout compris en un quart de seconde. Je n'arrivai pas à y croire. Ce n'était donc pas possible ? Mais ... D'où je viens ? Pourquoi m'avouait-il ça maintenant ? Je ne comprend pas ...
Fin du FlashBack
En brève « Suivirent ensuite mes quinze ans, pendant environ deux années je n'avait en aucun cas l'envie d'adresser la parole à mon père. Pourquoi ? J'avais une haine incontrôlable à son égare. Mes parents se sentait énormémant mal et ne comprenait pas ma réaction. Je me sentais énormémant seule et c'est donc à l'âge de dix huit ans que je décida de quitter le domicile familiale. Je pris un allé simple pour la belle et grande ville de Londres, j'étais en train de mourir, d'étouffer petit à petit, je ne pouvais donc plus rester ici. J'allais me détruire ... C'est avec un diplôme de médecine à la main que je pris la décision de m'inscrire dans une très grande Fac à Londres, certes, je n'était pas sûre de réussir mais j'avais cette envie énorme d'atteindre mon but. »
Extrait du journal de Svetlana Penetti.
Première expérience en tant qu'interne au London James Hospital
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