SMOKING PATCH — really wish I could.

soft hemingway

I'm leaving you my legacy
I gotta make my mark,
I gotta run it hard,
I want you to remember me.
I'm leaving my fingerprints,
I'm leaving my fingerprints,
I'm leaving my fingerprints on you .

I. Identité

Nom :

Prénom :

Age :

40 ans.

Lieu de naissance :

Nationalité :

Emploi :

Psychiatre.

III. Personnalité

- Profil Moral

Secrets :

-3 élément minimum-

Particuliarité :

-5 élément minimum-

IV. Book List

SMOKING PATCH — really wish I could. House-rel7

SMOKING PATCH — really wish I could. House-rel12

(c) creative_cherry

IRELAND S. HAINES.
Racontez rapidement l'histoire qui lie vos personnages

V. Hors Jeu

Avatar :

Fille ou garçon :

Comment avez-vous connu Complications :

Commentaire :

II. Histoire

Allô Docteur :

-15 lignes-

« Épouses moi. »

« Tu n'as pas d'inquiétude à avoir. Un mariage réglo, une cérémonie que tu prendras plaisir à organiser, les gens que tu voudras inviter. Je veux juste que tu sois ma femme, que je sois ton mari et qu'on s'installe ensemble. »

« Pourquoi ? »

« Parc'que .. je t'aime, Amber. Je veux que tu sois ma femme, que tu dormes à mes côtés, qu'on crée une famille ensemble, qu'on soit heureux dans notre quotidien.. J'ai pleins de raisons. »

« Oui. Pourquoi pas. »

« Bouffe ça, dans tes dents. » Patch murmurait à l'encontre d'Ireland, qui le provoquait depuis son arrivée à l'hôpital. La jeune femme lui menait la vie dure, et il ne se privait pas pour lui rendre l'appareil. C'est alors qu'aujourd'hui, il avait élaboré des stratagèmes plutôt efficaces. Encre sur sa chaise, dossiers en vrac, café à la vanille ( ce qu'elle détestait ), poubelle remplie de choses inutiles, culotte épinglée sur le devant de son bureau etc. D'ailleurs, la voilà qui débarquait. Elle lui lança un de ses grands regards, et il se leva directement pour voir ses réactions. « BORDEL DE ... PATCH ! » C'est là qu'il se mit à rire.

_______

« Va donc voir ton Trager. »
« Et t'es jaloux en plus ? »
« Jaloux de quoi ? On a aucune attache. »
« Réponse insuffisante, Brookie. »
« Tais toi un peu, je travaille. »
« Ca fait vingt minutes que tu lis ta page. »
« C'est une très longue page, ça te dérange ?. »
« Ce qui me dérange, c'est que tu mates mes fesses dès que je tourne le dos. »
« Hey ho, miss monde, arrête un peu ton char. T'es pas si bien roulée que tu ne le penses. »
« Tu oses me dire ça ? »
« Oui. Faut bien que quelqu'un ouvre tes yeux. »
« Toi qui, à quarante cinq balais, commence à être bedonnant ? »
« Commence. Exactement. Ca ne va pas durer. Tu te mordras les doigts lorsque toutes les petites infirmières voudront toucher mes abdos. »
« Ouais, c'est ça. Je préfère encore toucher ceux de Trager. »
« Va le voir, alors, qu'est ce que tu attends ? »
« Peut être que tu arrêtes de m'emmerder, Brookshire. »
Sur ce, elle tourna le dos et Patch se baissa pour admirer son postérieur.