Cette semaine, l'hôpital est inspecté. Restez sur vos gardes, Trager rôde... |
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| I thought that I should let you know, that my heart is damaged [R.] | |
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Invité Invité
| Sujet: I thought that I should let you know, that my heart is damaged [R.] Dim 3 Aoû - 20:48 | |
| Encore une journée lassante qui allait commencer. Où Grace ne pourrait pas une seule fois souffler, et être seule. Elle ne savait pas exactement pourquoi elle faisait ce métier, peut-être parce que ses parents l’y ont forcés d’une certaine façon. Elle avait toujours voulu faire de l’art, et selon sa mère, la médecine était aussi un art. Elle avait commencer à apprécier la médecine pour la simple et bonne raison qu’elle était l’une des meilleures de sa classe, et que ses professeurs aimaient flattés son égo, avant de rencontrer Trager. Cet affreux monsieur Trager.
Le réveil fut compliqué, elle était dans sa chambre d’hôtel, et elle n’avait pas su fermer l’œil de la nuit. Peut-être était-ce à cause de tous les dossiers qu’on lui donnait à chaque fois. Elle était gynécologue, et on lui donnait des dossiers pour les urgences, elle ne pouvait pas être partout à la fois, et son travail ne consistait pas à aider un enfant à savoir qu’il avait la grippe. Ce n’était pas comprit dans son salaire, pourtant, si pharaonique. La fatigue était imprimé sur son visage si doux d’ordinaire, elle se répétait à tue-tête : heureusement que le café, et que le maquillage existe, autrement, elle ne tiendrait plus debout, et elle serait affreuse à voir. Pourquoi pas, ne pas songer à quelques vacances au soleil bien mérité.
Après une bonne douche, et un bon café explosif, elle attrapa le journal. Elle comptait se chercher un petit endroit tranquille, car l’hôtel n’était pas un endroit qu’elle affectionnait. Elle rangeait quelques petites choses dans son sac de travail, et parti aux devants de nouvelles aventures, avec son merveilleux 4x4 offert par son père, après son divorce. Son père s’était retenu pour sauter de joie après cette annonce. Les parents de Grace n’avaient jamais apprécié Trager, car il était bien trop vieux pour leur petit bout de chou. A l’époque, Grace aurait du les écouter, elle se serait certainement passé de cette souffrance.
Il devait être encore suffisamment tôt, puisque les rues étaient moins peuplés qu’à l’origine, peut-être aurait-elle moins de travail, elle pourrait dormir un peu plus longtemps, si ses yeux veulent bien se fermer, bien évidemment. Arrivé devant London James Hospital, et qu’elle fut sa surprise quand elle vit une moto garé sur sa place personnel. Elle ne rechercha personne, puisqu’elle savait à qui appartenait cette moto, et le mieux de tout : cette même personne, se trouvait encore à côté, certainement venait-elle d’arriver. Elle baissa sa vitre. Tout en murmurant quelque chose comme « soit sympa avec lui, tu peux le faire, tu peux le faire. »« TRAGER ! Bouge ton gros cul de là, avec ta merde de moto démodée. » Ca… c’est fait. Elle n’était à prendre avec des pincettes le matin, surtout aujourd’hui, où une longue journée s’annonçait, et si en plus, Trager alias, son ex mari, venait l’emmerder dès le matin, sa journée risquait d’être chaotique, et chargé en émotions. « C’est ma foutue place. » Oh, il devait avoir l’habitude de l’humeur noire de Grace. C’était ainsi depuis le moment ou elle lui avait dit clairement que tout était terminé, qu’elle ne serait plus la bonne poire, qu’on trompe sans aucuns scrupules. Ce retour douloureux en arrière l’a fit penser à un rendez-vous avec Kalea. Elle lui avait conseillé de se montrer plus ouverte, et moins aigri avec le vieux, mais elle ne pouvait s’empêcher de lui chercher des noises, ou l’inverse. C’était plutôt compliqué à dire, puisqu’ils s’énervaient l’un l’autre. S’il ne partait pas immédiatement, elle ne se gênerait pas pour l’écraser, lui et sa moto stupide – bien que ce soit la seule chose qu'elle aime de lui, à présent, alors qu'elle déteste les motos. [Te l'avait dit que ce serait de la me***] |
| | | Aiden Trager SATANADMIN • The jungle is your head
Nombre de messages : 1385 Age : 33 Emploi : DIRECTEUR et CHEF DE L'HÔPITAL. Titulaire spécialisé en immunologie et en hématologie. Copyright : SAILOR URANUS (aka Paweke) Humeur : MAD. Date d'inscription : 01/08/2008
Complications I-pod: U2 - Vertigo Niveau professionel: (100/100) Relations:
| Sujet: Re: I thought that I should let you know, that my heart is damaged [R.] Lun 4 Aoû - 0:13 | |
| Il s’était réveillé aux aurores. Une fois de plus. Soupirant de frustration, il s’était dirigé vers la cuisine avec la ferme attention de se préparer une tisane et de retourner se coucher. Il n’était que cinq heures du matin et il ne commençait qu’à neuf heures aujourd’hui… Pourquoi le ciel s’acharnait-il donc à le maintenir éveiller ? Le seul point positif c’est qu’il n’était plus régulièrement amené à pratiquer la médecine. Au rythme de ses anciennes gardes, jamais Aiden n’aurait tenu le coup et son cerveau l’aurait très certainement forcé à sombrer dans l’inconscience une journée entière, pour récupérer…
Lorsque la théière fut remplie d'eau chaude, il se dit que se serait certainement plus simple d'avoir du thé à portée de main plutôt que d'attendre qu'un ange passe. Pendant près de dix minutes, il avait fouillé de fond en comble les meubles de la cuisine, grimpant sur une chaise pour vérifier les étagères les plus hautes perchées et, abattu, dans un dernier effort, il avait ouvert tous les tiroirs, comme si son simple souhait allait faire apparaître un sachet de thé dans l’un d’eux. Plus de thé…
Bon. C’était partit pour un café et adieu l’hypothétique sommeil. Génial. Non, vraiment, sa vaine recherche dans la quête sacrée du sachet de thé l’avait mis dans une humeur exécrable, pourquoi ne pas même qualifier de noire ? Prenant place sur le banc de la table de la cuisine, il massait ses tempes douloureuses tout en focalisant son ouïe sur le son que produisait la cafetière, dans l’un des coins de la cuisine. C’était calme… beaucoup trop calme.
Lorsque la dernière goutte de café s’écoula, Trager sursauta. Il s’était assoupi avant même qu’il ne put aller au bout de sa pensée… en même temps, il valait mieux ne surtout pas réfléchir à la présence qui mettait à feu et à sang son home sweet home. Et qui aujourd'hui n'était plus là. Il avait prit son café, sans prendre la peine de manger quoi que ce soit, puis il s’était préparé. Rien ne le retenait ici alors il allait pouvoir faire un petit tour dans la banlieue de Londres, sa moto comme seule compagne.
Il était arrivé dans les alentours de sept heures et demie à l’hôpital. Durant une heure, il s’était jeté à corps perdu dans la vitesse et uniquement elle. Celle qui laissait le vent martelé son visage alors qu’il était emporté par l’engin en ligne droite à des allures folles ou sur les petites routes qui forçaient au directeur à la prudence et à un éveil total… Celle à qui Aiden serait certainement toujours fidèle. Plus fidèle à elle qu'à n'importe quelle femme. Triste, mais réel. Arrivé devant sa place de parking, il s’était dit que la journée serait fade… Qu’elle place de parking irait–il volé cette fois pour essayer de se distraire quelques minutes ? Tel un conspirateur, il avait de nouveau enfourché l'engein et s’était mis à faire plusieurs fois le tour des places de parking pour savoir quelle serait sa place de roi aujourd’hui… Ian ? Trop facile. Sa nouvelle psy ? Non, trop hystérique… Celle d’un interne ?! Nul, ils ne se défendront même pas… Et il se stoppa près de celle de Grace. Après quelques secondes de réflexion sur la possible mise à mort dont il prenait le risque, il coupa le moteur de sa moto et, en jouant des pieds, il se plaça en plein milieu de la place…
Il retira tout d’abord le casque, appréciant de nouveau le contact de sa tête nue avec l’air. Il commençait sérieusement à avoir chaud là-dessous… Après avoir posé mollement ses mains sur ses cuisses, il s’était finalement décidé à descendre de sa moto pour pouvoir terminer au plus tôt toute la paperasse qui l’attendait –bien qu’il sache qu’il ne repartirait pas de l’hôpital avant vingt-deux heures ce soir…-. Dommage, il aurait bien voulu voir la réaction de Grace… « TRAGER ! Bouge ton gros cul de là, avec ta merde de moto démodée. » Oh oh ! C’était Noël avant l’heure ou quoi ? « Mais à qui peut bien appartenir cette si douce voix qui fait si bruyamment siffler mes oreilles ? Tant d’agressivité le matin ! » Il se retourna vers le 4x4 de son ex-femme. « Pas bon pour ton cœur ! » Lui lança t-il en en haussant les sourcils et en retroussant les lèvres. « C’est ma foutue place ! »
Aidan prit un air étonné, leva le pied gauche, puis le droit et, en regardant le mur qui était derrière sa moto, il constata à voix haute. « Ah oui, y’a ton nom dessus ! Ah, mais non attends, c’est parce qu’il y a encore écrit Trager, là ! Je me disais aussi ! Pfiouuu, tu m’as filé une peur bleue, j’ai bien cru être atteint d’Alzheimer ! »
Il posa son regard sur Grace, qui devenait de plus en plus rouge, puis sur le plafond du parking souterrain. Théâtralement, il posa son revers de main sur le front. « J’ai quand même un peu chaud et puis, pour avoir réussit à confondre un prénom de danseuse d’opérette d’avec le charmant jardin que signifie le mien, c’est que je dois avoir un sacré problème… Tu me conseilles quel ophtalmo ? » Il allait l’avoir, sa charmante dispute. Il n’attendait que ça, il adorait mettre la trentenaire en rogne et le coup du sachet de thé de ce matin allait être largement vengé : en voyant la plaque d’immatriculation de l’automobile, Aiden s’était tout de suite souvenu que la boîte de thé, c’était Grace qui l’avait exigée dans le partage des objets lors du divorce. Le visage de Trager avait de quoi avoir de nombreuses pulsions meurtrières habiter les songes de quiconque pouvait bien passer par là : il était serein, trop serein, et un petit sourire ironique ne se détachait pas de là. Il faisait la guerre intelligemment, lui. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: I thought that I should let you know, that my heart is damaged [R.] Mar 5 Aoû - 22:38 | |
| Voir Trager, dès le matin, était une très mauvaise chose pour Grace. Elle allait devenir irritable toute la journée, et ce sont ses collègues qui devront en subir les effets. Dites tous merci à TRAGER LE VIEUX. Il fallait impérativement qu’il dégage de là si il ne voulait pas se retrouver lui-même patient de l’hôpital où Grace et lui travaillait. Elle avait des envies folles de meurtres, et pour une vengeance personnelle, elle pourrait très bien l’écraser, lui et sa moto, avec sang froid. Calme toi Grace, rappelle toi ce que Kalea disait. Tu peux le faire, être gentille avec lui. Ce n’était pas la mort. En fait, elle n’était pas vraiment haineuse, en fait, elle jouait un jeu, pour l’atteindre – et visiblement, cela ne fonctionnait pas – sa haine était crée par la rancœur qu’elle éprouvait, et par la souffrance qui lui martelait le cœur de façon suffocante. Les jointures de ses doigts devenaient blanches tellement qu’elle serrait fortement le volant de sa voiture. Prendre son téléphone, et appeler la fourrière, ou écraser Trager et la moto. Son 4x4 serait abimait, mais d’une façon ou d’une autre, elle détestait ce belle engin.
« Je ne te le redirais pas deux fois Trager. Ma patience à des limites. » Et elle ne chôma pas, puisqu’elle accéléra brusquement, avant de stopper net la voiture, à seulement quelques centimètres de la moto, et de Trager. En fait, elle avait beau le détester, d’une façon ou d’une autre, elle ne pouvait pas lui faire du mal, c’était bien mieux de le blesser mentalement, plutôt que physiquement.
« Depuis quand tu te soucis de mon cœur ? » Cette question rhétorique avait un double sens. C’était un faible reproche sur leur vie passé. Grace était particulièrement douée pour cela, rappeler soudainement les choses douloureuses en un rien de temps. Dans une vie antérieure, elle avait du être comédienne pour Shakespeare. Elle avait envie de lui arracher les yeux à la petite cuillère, de lui tordre le cou, et de le jeter dans une rivière de Londres. C’était un bon programme. Elle se redressa, elle faisait souvent cela quand elle cherchait à se calmer. C’est comme si tout ses nerfs étaient souvent parcourut de courants électriques.
Il était vrai que l’hôpital n’avait pas encore changé le nom sur la plaque. Elle n’y pouvait rien, ce n’était pas forte d’avoir été chiante sur ce sujet auprès de l’administration. Il lui promettait de le faire prochainement, mais cela faisait déjà un mois. « Tu sais, à ton âge, ce ne serait pas surprenant que tu es l’Alzheimer. » Oh ! Grace n’était pas aussi douée que Docteur Trager pour balancer des vannes sarcastiques à tout vas. Au fond, c’était une jeune femme bien trop gentille, pour pouvoir être méchante. Mais elle faisait ça pour se venger. En plus de l’avoir blessé auparavant, il continuait à le faire quotidiennement. Si elle pouvait, elle effacerait cette partie de sa vie. Il était ridicule, et c’était une des raisons évidentes, qui avait poussé Grace à divorcer. Pas seulement pour les infidélités, mais aussi pour le manque de maturité de son ex compagnon. Elle avait beau faire tout un tas d’efforts pour s’en sortir, elle revenait toujours vers lui.
« Oh, tu n’as pas besoin d’un ophtalmo, mais je peux te conseiller un très bon asile dans le sud de Londres. » Elle essayait de se calmer, mais elle n’y pouvait rien, elle était bien trop lunatique, et trop impulsive pour se calmer, si elle s’écoutait, elle descendrait de la voiture pour briser une jambe à Trager. C’est comme si un feu l’a consumait de l’intérieur, et qui allait surgir à n’importe quel moment. Il l’a poussait, et elle savait pourquoi. Oh, il voulait se donner en spectacle, il souhaitait l’énerver, il souhaitait qu’elle souffre de nouveau, qu’il lui lacerait encore le cœur avec un beau scalpel. Il arrivait toujours à ses fins, et ce ne serait pas surprenant qu’après cette dispute, Grace se réfugie dans le bureau de Kalea pour trouver une épaule sur laquelle pleurait. Cette situation était la depuis un petit moment, et c’était surement cela qui fatiguait le plus la jeune femme. Elle était à bout de nerf, malgré les efforts à supporter ce tyran qu’elle a aimait éperdument, et qu’elle idiote fait-elle, mais elle éprouve toujours de forts sentiments à son égard, ne serait-elle pas un peu masochiste ? |
| | | Aiden Trager SATANADMIN • The jungle is your head
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| Sujet: Re: I thought that I should let you know, that my heart is damaged [R.] Mer 6 Aoû - 13:23 | |
| La réaction de Grace étonnait à moitié Trager. Toute divorcée de ce nom se devait d’avoir un visage fermé et glacial si elle avait le malheur de rencontrer son ex-époux dans la rue. Grace préférait provoquer l’ex-mari en question et ne se gênait pas de l’insulter en plein milieu de l’hôpital. Il savait que c’était une réaction normale, surtout pour une femme, toujours en proie à leurs foutues hormones. Mais Grace avait-elle été une femme normale ? Venir se jeter dans les bras d’un type vieux de quinze de plus qu'elle, il fallait dire que c’était… courageux, mais synonyme de folie aigue. Encore plus d’un misanthrope…
Alors qu’elle lui lançait qu’elle n’avait plus aucune patience, Trager jeta à Hunter un regard de défi. Qu’allait-elle lui faire ? L’écraser avec son 4x4 tout neuf peut-être ? Les battements de son cœur s’accélèrent subitement en se rendant compte qu’elle n’avait pas hésité à foncé sur lui. L’automobile qui était arrêtée juste devant lui paraissait tout d’un coup très intéressant, il passa le bout de son index sur la carrosserie noire tout en écoutant les blablas incessants de la jeune femme. Pour le moment, il tentait de comprendre ce qu’il venait de se passer : avait-elle réellement voulu l’écraser là ou c’était juste son frein à main qui avait été mal serré ?
« Heu… Depuis que j’ai fais ce serment d’Hypo machin, tu sais, celui qui atteste qu’un médecin doit toujours faire attention à son prochain ! » Il n’allait surtout pas lui faire ce plaisir ! La plaindre, et puis quoi encore. Lui, il n’en avait rien à faire. D’autres personnes, comme son meilleur ami ou encore le docteur Carlton lui auraient dit qu’à ce moment, il aurait du faire preuve d’un peu d’humilité et faire profil bas. Lui, Aiden Trager, avec un regard désolé sur le sol, cherchant à tout prix à éviter le regard de sa nouvelle ennemie ? Hors de question !
Cependant, sa remarque d’Alzheimer le laissa coi. Il laissa échapper un rire de sa gorge, plus amer qu’amusé. En secouant affirmativement de la tête, il lui dit rapidement « Tu sais que tu deviens langue de vipère toi ? » Et puis, il repartit dans ses pensées profondes. Son visage n’était ni triste ni même accusateur. Il était désespérément neutre. Son regard, suggérait de l’incompréhension et de l’ironie… Il haussa les épaules et c’est sur un ton de confidence qu’il lui dit « Gardes-toi l’adresse, je pense que tu en as plus besoin que moi ! C’est toi qui viens d’accélérer d’un coup pour me foncer dessus non ? » Il secoua la tête négativement, comme un père le ferait pour réprimander son enfant qui venait de commettre une bêtise ou autre délit.
De son poing gauche, il toqua contre le capot avant de la voiture et approcha son oreille, comme pour vérifier qu’elle n’émettait pas de sons étranges. Déterminons le problème : technique ou simplement une montée d’adrénaline de la part de sa tendre ex-épouse ? Vu que le moteur ronronnait comme se le devait un moteur neuf, il optait pour la seconde hypothèse. Il se redressa d’un coup, un sourire presque fier aux lèvres et c’est avec une voix moqueuse qu’il l’informa « Tu es lâche ! Tu n’as même pas réussi à aller au bout de ton idée ! Me percuter avec la chère voiture de tes parents, ça t’aurais calmé un moment non ? » Il ne savait pas vraiment si c’était préférable de l’énerver encore plus à ce moment. Etait-elle réellement capable de lui foncer de nouveau dessus ? Si tel était le cas, il était mal partit. Hormis eux, il n’y avait personne à ce niveau du parking…
« Tu comptes quand même pas m’écraser là ? Si ? » Lança t-il avec une moue de chien battu. Il se voyait déjà pris entre le mur, sa moto et la voiture. « Ian t’en voudra à vie si t’oses faires ça ! » Lança t-il avant de réfléchir de nouveau… « Les docteurs Abrams et Carlton aussi, les pauvres, je mourrai avant d’avoir pu me décider sur lequel de ces deux là allait avoir mon poste… Et je t’ai toujours pas retirée de mon testament ». Son visage se figea faussement d’horreur « D’accord ! C’est pour toucher la pension que tu veux ma mort ! » | |
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