• SIXTE B. - porcelain doll

Invité

You don't want to hurt me,
But see how deep the bullet lies.
Unaware I'm tearing you asunder.
There is thunder in our hearts, baby

•• identité

Nom : Browning.
Prénom : Sixte Kristen. Ses parents étaient des personnes particulièrement étrange, ont décidé d'appeler leur premier enfant, Sixte. Pour faire une sorte de démarcatin avec son caracètre particulièrement original et joyeux. Kristen est en rapport à sa grand mère qu'elle n'a malheureusement jamais connu. Elle est morte à cause d'une maladie du sang.
Age : Vingt-trois ans.
Lieu de naissance : Detroit, Michigan.
Nationalité : Américaine. Mais beaucoup de personne ne l'a croivent pas quand elle dit venir des USA. Pour la simple et bonne raison qu'elle ressemble plus à une indienne, c'est à dire, à une personne qui vient de l'Amérique du Sud. Mais depuis quelques années à présent, elle étudit en Angleterre, bien qu'elle y vive depuis son enfance.
Emploi : Sixte est toujours étudiante, en lettres anglaises.

•• répertoire téléphonique

&aiden trager
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Racontez rapidement l'histoire qui lie vos personnages

&jessica warmer
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&prénom nom
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•• hors jeu

Avatar : Rachel McAdams
Fille ou garçon : Fille
Comment avez-vous connu Complications : Pfffoui, m'en rappelle plus.
Code : M41WH
Commentaire : Ma Chupa, je t'aime fort

Invité

•• personnalité

- Profil Moral
3 Défauts : Obstinée - Egocentrique - Révoltée
3 Qualités : Amusante - Aimante - Ouverte
Caractère : Ne vous a ton jamais dit qu’il fallait se méfier des apparences, car elle était souvent trompeuse ? Et bien, Sixte est l’exemple parfait. En apparence si calme, timide, presque effacé, elle est loin d’être comme ça, même dans son enfance. On lui a souvent dit qu’un enfant ne changeait pas, encore moins quand il grandissait, et elle approuve totalement, car son caractère est resté toujours la perle rare chez elle qui fait qu’elle attire avec une facilité déconcertante le regard des gens. Elle dégage une telle force qu’elle vous rend mal à l’aise en seulement quelques secondes. Ce n’est pas le genre de personnes qu’on ne remarque pas, elle est loin d’être invisible, elle est même beaucoup trop présente, extravertie. Ayant été bercé par la religion dès son plus jeune âge, car son père était un Texan, il avait transmit sa foi chez Sixte. Le pretre, qu’elle connait depuis son enfance, puisque c’est lui qui l’a baptisait, disait d’elle, déjà auparavant qu’elle dégageait une lumière, une lumière qui pouvait aveugler bien des personnes, et surtout les hommes, elle serait un bourreau des cœurs. Et cette hypothèse s’est révélée réelle. Elle sait mettre les autres à l’aise, et ne cherche en aucuns moments d’abaisser les autres au plus bas. Certes, elle a un côté ironique qui fait qu’elle aime taquiner les personnes qui l'entourent sans grande méchanceté. Sentimentale, elle a héritée de ce côté de sa mère, elle aime l’amour, et tout ce qui s’y rattache. Les poèmes, les chansons d’amours, l’acte. Son caractère est fascinant parce qu’il est particulier, elle n’est jamais la même, on ne sait jamais à quoi s’attendre, du coup, on peut découvrir chaque jour une nouvelle facette de Sixte. Révoltée, elle ne supporte pas la malchance, et fait de son mieux pour aider les personnes dans le besoin. Ce qui fait qu’elle à une grandeur d’âme et une grandeur de cœur impressionnante. Aimant le jeu, que ce soit avec les cartes, ou le jeu sentimental et corporel, elle se montre particulièrement espiègle sous ce point de vue. Elle vit sa vie au jour le jour, c’est ainsi qu’on l’a élevé, elle aime l’aventure. Sixte aime la nouveauté, et c’est ce qui fait de cette belle brune une personne fraiche. Elle garde malgré tout la tête haute, malgré sa maladie.

- Profil Physique
Physique : Sixte est une jeune femme petite, et à une apparence plutôt androgyne. Elle reste malgré tout une très belle femme, avec un visage ovale, un teint de poupée en porcelaine, des yeux d’un vert remarquablement troublant, et une bouche pulpeuse soulignée de rose, ses joues relèvent doucement la blancheur de sa peau. Sa mère l’a comparait très souvent à une poupée en porcelaine que Sixte ne lâchait pas quand elle était enfant. Elle possède des cheveux mi-longs qu’elle s’amuse à changer de couleurs très souvent. Passant du brun au blond, puis du blond au roux, pour revenir au brun, sans oublier le blond aux mèches roses Barbie. Sixte aurait vraiment tout fait. C’est une jolie jeune femme, avec de fines formes, un corps amincit. C’est une personne plutôt naturelle, et on s’en rend rapidement compte en ce qui concerne son physique.
Habitude vestimentaire : Il est difficile de cerner le style vestimentaire de la jeune femme, car elle aime tous les styles. Vraiment. Mais celui qui lui convient le mieux est : un style décontracté tout en étant le plus classe possible. Elle aime s’habiller dans des jupes, robes, shorts, pantalons larges, slims. Enfin bref, elle aime principalement mélanger les styles. Un pantalon large avec un t-shirt vintage, et de jolies escarpins vernis noir. Ceci est le genre de tenues qu’elle aime porter. Mais vous l’a verrez plus souvent en jean, qu’en jupe, sauf pour les grands évènements. Elle porte souvent des ballerines ou encore des escarpins, mais elle n’aime pas porter des baskets ou autre tenue et chaussure de se genre.

Invité

•• histoire

Histoire :

• 21 septembre 2001
Maman m’a achetée un journal intime. Je ne vois pas vraiment l’utilité. Elle me dit souvent que dans mon cas, cela me ferra un bien fou de pouvoir écrire quelques lignes dans un livre qui m’est personnel. Si elle le dit, c’est qu’elle n’a pas totalement tort. De toute évidence, la preuve que ça marche, car je suis entrain d’écrire quelques petites lignes dans ce journal rose flashy que j’aime tant – la couleur, ça va de soi. – je ne sais pas pourquoi elle pensait que ça pourrait me faire du bien, surement à cause de ma maladie. Oui, cela fait quelques années que j’ai appris que j’étais atteint d’une maladie qui ne pouvait guérir. J’avoue que ça me fait un peu peur, car je peux mourir à n’importe quel moment, cela m’empêche de faire ma vie comme je l’entends, ainsi que de réaliser les rêves que j’avais en tête. Je garde la tête haute pour faire bonne figure, mais sérieusement, quand on sait qu’on a une maladie qu’on ne peut pas traiter, ça vous fait changer votre point de vue sur le monde. A part ma famille, personne n’est au courant, je ne souhaite pas que mes amis le sachent, ressentir de la pitié est vraiment la dernière des choses que je veux. Je veux mener ma vie comme si j’étais en pleine santé. C’est bien mon droit non ?

• 9 avril 2002
Je reviens d’une soirée avec William. Ce mec est adorable, un véritable anglais, blond, yeux bleus. Un ange, mais mes amis me disent de me méfier. Elles sont surement jalouses. C’est le garçon le plus populaire de l’école qui s’intéresse à ma petite personne, comme si j’allais passer à côté en l’ignorant royalement. Je fonds pour lui depuis bien trop de temps. Je suis épuisée, il faut que je prenne mes médicaments… Je déteste cette partie de ma vie.

• 14 juillet 2004
Cela fait plus de deux ans que je suis avec William. Enfin, que j’étais avec lui. Moi qui pensait avoir rencontré le mec parfait, je me suis trompée. Il m’a quitté, car il s’était senti trahis par le fait que je n’ai pas dévoiler ma maladie. En plus de ça, j’ai appris, par hasard, qu’il s’était tapé ma meilleure amie, une grosse erreur selon lui. J’avais passé l’éponge, mais ma mère, voyant que les choses devenaient de plus en plus sérieuse entre lui et moi, à préféré l’appeler quand je n’étais pas là pour lui parler de ma maladie. Je l’a déteste. D’ailleurs, une autre nouvelle : j’ai fais mes valises, et je suis dans un hôtel au plein cœur de Londres. J’ai quitté la maison familiale. Que des hypocrites. Mes amis sont restés auprès de moi, car eux aussi ont su pour ma maladie. Je déteste la façon dont il me regarde. Je déteste ma mère pour ce qu’elle a fait. Elle m’a privée d’une vie à peu près normale. J’ai l’impression de devoir sans arrêt me justifier. J’ai le cœur brisé, et qui va ramasser les morceaux ? Personne. Pas même les docteurs. J’ai décidée d’arrêter le traitement, et d’arrêter les visites quotidiennes. Je veux ma propre vie, loin de toutes ses seringues et autres trucs qui me dégoutent de la vie, de ma vie. J’ai pris un billet d’avion pour la Californie. Changer d’air pourrait me faire que du bien. Les autres ne vont pas décider de ma vie. Je suis le maitre de ma vie, et cela restera ainsi.

• 13 février 2005
Je vis en Californie. J’ai quitté l’Angleterre, j’ai quitté mon médecin traitant – Aiden Trager – pour faire de mes rêves une réalité. J’ai toujours souhaité me poster en Californie. Le soleil, et le surf, voila ce que j’aime. Les gens ne connaissent rien de moi ici, ils ne savent pas que je vais mourir très certainement plus tôt qu’eux. Je me suis fait de nouveaux amis, ainsi qu’un garçon plutôt mignon auquel je me suis entichée. Un Surfeur.

• 21 mai 2006
A croire que je passe ma vie à t’écrire. Mais, je me trouve à l’hôpital en Californie. Ma maladie s’aggrave, et mes amis sont au courant de mon ‘petit’ secret. Je culpabilise. Mais ils se montrent très proches, et ouverts. Leurs réactions est tellement différentes de celle de mes amis de Londres. Ils continuent à faire comme si de rien n’était, mais je sais que ce n’est qu’une image. Comme l’image que je renvoie, comme quoi tout vas bien. « Je vais pouvoir refaire du surf. » Je m’amusais à dire ça, mais je savais que mes chances étaient minimes. Le surf n’était plus d’actualité pour moi. Tant pis, je me trouverais un autre passe-temps.

• 2 juin 2006
Je sors de l’hôpital aujourd’hui.

• 3 août 2008
Je suis de retour en Angleterre. J’ai du revenir, pas par envie, mais par obligation. Ma maladie se dégrade de jour en jour et moi avec. J’ai pris un billet d’avion pour Londres. Je vais retrouver Monsieur Trager. Cela doit bien faire deux trois ans que je ne l’ai plus vu. Son humeur massacrante m’avait bien manqué. Quoi que, il était plutôt cool avec moi avant.

• 13 août 2008
J’ai du être emmener en urgence à London James Hospital, j’ai des difficultés pour respirer, et je ne peux plus marcher, je crois que c’est une artère qui s’est bloquée ou quelque chose de ce genre. Je déteste ma vie. Mais je reste positive. Ce n’était peut-être pas mon heure pour partir, j’ai vraiment cru que j’allais mourir, heureusement qu’il y a des personnes censées dans le centre ville de Londres qui ont appelé l’hôpital en urgence. ME REVOILA.

Maladie : La maladie de Sixte a été découverte très tôt. Elle était encore adolescente quand les médecins l’ont diagnostiqué. Quelle belle ironie quand on sait que mademoiselle Browning venait pour une simple grippe. Elle a de quoi en vouloir au monde entier. Ce fut sans arrêt, maladie des poumons et des artères appelait sous forme médicale : Sarcoïdose. Ce fut une très bonne blague pour Sixte qui ne le prit pas mal visiblement. Elle évite d’en parler, et quand elle ressent un certain mal, elle évite d’en parler, c’est pour cela, très souvent, qu’il lui arrive de faire des petites attaques. Elle doit être suivit car elle fait partie des 20% qui provoquent des complications respiratoires. C’est pour cette raison qu’elle connait aussi bien Aiden Trager qui en réalité, est son médecin attitré. Malheureusement, si on en croit les mauvaises langues. Il peut être casse pied, mais ils se connaissent depuis l’adolescence de Sixte, du coup, ils ont réussit à se supporter depuis le temps. Sixte n’apprécie pas qu’on lui parle de sa maladie, peut-être pour la simple raison que cela semblerait trop réelle à ses yeux. Elle se trouve bien trop jeune pour mourir d’une connerie pareille, surtout quand on sait que cette maladie n’a pas de traitements. De quoi vous donnez des espoirs – à prendre de façon ironique. Pendant un long moment, elle a arrêtée tout traitement, en partant de chez elle à sa majorité. Elle n’en pouvait plus de ressentir l’effet d’être un rat de laboratoire. Elle était humaine, avec des sentiments très partagés sur ce qui lui arrivait en ce moment. Pendant quelques années, elle habita en Californie, avant de devoir revenir à cause de sa maladie qui s’était gravement aggravé. Elle céda à ses parents, alors qu’elle aurait très bien pu se faire soigner en Californie, mais il était vrai qu’elle préférait être soignée par Trager, un médecin très compétent malgré son sale caractère. Mais têtue comme elle est, elle prit tout ceci à la légère, avant de faire une attaque en plein centre ville de Londres. Depuis ce jour, elle se retrouve de nouveau à l’hôpital de façon permanente : elle ne peut plus bouger les jambes à cause d’une artère qui s’est coincée, et elle a des difficultés à respirer normalement. La vie est belle, le monde est beau.