Cette semaine, l'hôpital est inspecté. Restez sur vos gardes, Trager rôde... |
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| i like the way you work — pv peaches | |
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Mathias Hudson Attend, je dégaine mon scalpel
Nombre de messages : 212 Age : 34 Emploi : Intern Copyright : © loonydee Humeur : Joker Date d'inscription : 05/08/2009
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| Sujet: i like the way you work — pv peaches Jeu 6 Aoû - 15:59 | |
| Cela faisait bientôt 23 heures que Mathias avait débuté sa garde au London James Hospital et le moins que l'on puisse dire, ce que c'était assez calme pour le moment. Il avait fait quelques sutures, amener des patients au scanner, récupérer des résultats au labo pour sa résidente, bref, rien de bien intéressant pour un jeune interne avide de voir du sang, des opérations à coeur ouvert et autres procédures médicales rarissimes. Cependant, le ciel était contre lui, puisqu'absolument rien d'intéressant n'était arrivé depuis le début de sa garde. Et l'ennuie commençait à monter en lui. L'ennuie, mais aussi la fatigue. Mathias savait que l'internat était une partie difficile dans le parcours pour devenir médecin, mais c'était un passage obligatoire et pour réussir, il fallait bien faire quelques petits sacrifices. Comme par exemple dormir dans un lit et préférer les bancs des vestiaires. C'était d'ailleurs couché sur un banc que Mathias se trouvait, les yeux clos, en essayant de prendre une petite dizaine de minutes de repos, mais aussi prier le ciel, pour lui permettre d'avoir un gros cas de trauma débarquer. L'idée qu'une personne puisse attendre un patient très grièvement blessé pouvait paraître monstrueuse, mais tous les internes de l'hôpital était comme ça. Ils ne vivaient que pour se disputer les cas les plus sanglants et les plus bizarres, dans l'idée de trouver un quelconque mystère médicale leur permettant d'être mieux vu par les titulaires. Oui, de la lèche en réalité. Même si on les avait prévenus que ça ne servirait à rien, Mathias et les autres faisaient tout pour être bien vu par leur résident et depuis le tout premier jour.
FLASH BACK
Face à lui, un bâtiment de couleur blanche se dressait. Moderne et immense, Mathias comprit rapidement que la réputation de l'hôpital était bien fondée puisque le London James Hospital, que le jeune homme avait choisis pour faire son internat, était tout simplement le meilleur hôpital universitaire d'Angleterre. Pour Mathias, cela relevait presque du miracle d'avoir été accepté ici, mais il ne s'en plaignait pas. Sa formation serait irréprochable et d'ici quelques années - si tout se passe bien - il serait l'un des meilleurs médecins du pays. Quoi de plus gratifiant que des patients, venant de l'autre bout du pays, qui viennent vous voir pour une consultation et une opération? Il avait finis par entrer dans ce magnifique bâtiment, qui serait sa seconde maison pendant plusieurs années. Il y passerait le plus clair de son temps, n'ayant plus aucune vie sociale, mise à part ses collègues de travail. Il n'aurait plus le temps de rien, mise à part bosser sans répit. Et bizarrement, cela lui convenait.
FIN DU FLASH BACK
Mathias se redressa et se dirigea vers son casier gris. Il l'ouvrit puis attrapa un petit sachet sur l'étagère. D'un geste de la main, il ouvrit le paquet rouge et se mit à grignoter les petits gâteaux au chocolat qu'il contenait. C'était préférable de ramener sa propre nourriture, surtout lorsqu'on faisait un tour à la cafétéria de l'hôpital. Le London James était peut-être le meilleur niveau médecine, mais concernant la bouffe, ce n'était pas encore ça. On ne pouvait pas tout avoir après tout. Cependant, c'était prouvé scientifiquement, du moins, Mathias l'avait lu dans une magazine: lorsque les employés mangeaient bien, ils travaillaient beaucoup mieux. C'était peut-être une grosse blague, mais Mathias trouvait qu'il était toujours plus concentré, plus rapide, plus actif lorsqu'il avait bien mangé. Hasard? Peut être pas. C'était une suggestion à faire au Chef. Enfin... Peut être pas maintenant, peut être pas en tant qu'interne. Il reposa le paquet dans son casier et le referma.
FLASH BACK
Une forte agitation régnait dans les vestiaires. Tous les internes de cette nouvelle promotion étaient là, à rire, parler, se croire déjà de grands chirurgiens. Mathias ne pouvait s'empêcher de se comporter de la même façon, même s'il savait que le chemin était dur. Comme on l'avait prévenu, beaucoup quitterait le programme avant la fin et ceux qui resteraient n'était même pas sûr de réussir l'examen pour passer résident. Il fallait se donner les moyens pour réussir en gros.
« Clark! Hunter! Hudson! Votre résident est Bergmann. Au bout du couloir, sur votre gauche. »
FIN DU FLASH BACK
Le jeune homme sorti de ses pensées lorsqu'une personne poussa la porte des vestiaires. Il se tourna, croisant les doigts pour ne pas voir la tête de Théophile apparaitre.
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| | | Peaches Atwood Tu veux un pansement?
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| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Jeu 6 Aoû - 19:17 | |
| Cela ne faisait pas bien longtemps que Peaches travaillait dans cet hôpital en tant qu’infirmière généraliste. Pour être honnête, étant plus jeune, son rêve était de devenir médecin, ou chirurgien – comme beaucoup d’enfant d’ailleurs ; mais elle ceci persistait, et elle voulait en faire son métier c’était décidé. En grandissant, elle prit conscience des aléas du métier, tout n’était pas rose tous les jours, bien au contraire, il fallait être très fort pour envisager ce métier, et redoubler de disponibilité. Ce n’est pas les années d’études qui l’a repoussèrent pourtant mais bien sa sensibilité. Malgré les apparences, Peaches est quelqu’un de sensible au fond, et n’aurait pas supporté opérer des patients et peut-être même en voir mourir plus d’un en une journée. C’est pourquoi elle préféra se diriger vers la filière d’infirmière, elle n’avait pas trop d’apriori sur ce métier, et allait dans cette école un peu à l’improviste, pour disons se faire son propre avis. Il fut très vite positif, être infirmière dans un hôpital lui plaisait vraiment de plus en plus chaque jour ; et c’est pour ça qu’elle continua ces deux ans d’écoles, et eut son diplôme en fin d’année. Elle postula dans pas mal d’hôpital aux alentours de Londres, mais ayant un dossier solide et très bon, pour son plus grand bonheur, elle fut prise dans le London James hopital, là où elle a toujours rêvé être. Le début remonte maintenant à une petite année, où elle entrait comme une jeune infirmière dans l’immeuble, mais elle s’y habitua très vite, mais ne ce fut pas appréciée de tous, bien au contraire, son caractère fort et prenant en repousse plus d’un. Elle ne se fait pas trop de soucis, elle a toujours été comme ça, et dans l’hôpital son but premier étant de soutenir ses patients. D’ailleurs en parlant de ça, elle s’attache bien trop vite à ceux-ci, surtout ceux en fin de vie, et à tellement d’espoir que la chute parfois peut-être très rude tellement son optimiste était haut. Voilà pourquoi si elle aurait été médecin elle serait très vite tombée en dépression.
Faut dire que dans cet hôpital il y a pas mal de rebondissements ; et ça plaît à Peaches pour le moment. Je veux dire par là les cas que l’hôpital détient chaque jour ; parce que si vous entendiez par rebondissement les relations entre les collègues, c’est vrai que Peaches vous avez du en entendre parler. L’infirmière qui critique tout le monde sans arrêt – et oui il en faut bien une avec un sale caractère, vous tombez pile nez à nez avec elle. Brefons ; de nombreux internes figurent ici, ayant tous le même but : devenir résident, le plus tôt possible, et pour ça ils sont bien obligés de se réjouir devant un homme ayant une maladie rare, ou encore des choses pas courantes qui en réalité ne sont vraiment pas drôle. Ils sont tous abrutis autour des patients quand l’affaire est grave, et si jamais ils ne sont pas pris pour telle ou telle personne ; il sont prêt à tout faire pour se venger du résident qui ne l’a pas noté sur la liste. Enfin Peaches a même trouvé des internes plutôt mignon, notamment un certain Mathias ; qui est très séduisant, et entre eux ; il y a ce jeu de séduction qui ne cesse, et qui les amuse drôlement.
Cette nuit ; Peaches était de garde, et oui ayant pas beaucoup d’année d’expérience, elle n’avait pas encore le choix entre les nuits ou les journées, et de ce fait ; elle devait obéir aux ordres de sa supérieur qui hier matin lui annonçait « Vous êtes de garde demain mademoiselle Atwood ! » Peaches n’avait pas vraiment apprécié, le travail la nuit ça ne lui convient absolument pas ; mais pour une fois c’était à prendre ou à laisser. De ce fait, elle commençait sa garde à 21heures, et la connaissant elle n’allait surement pas être en avance, à l’heure ce n’est même pas sûr, plutôt en retard, mais ces supérieurs n’étaient pas là et c’est vrai qu’elle profitait pas mal de ça pour gratter quelques minutes. Il était cependant 21 :02 quand Peaches entreprit de se rendre aux vestiaires pour enfiler sa blouse, c’était le genre d’endroit où pas mal de médecin, internes, infirmiers se retrouvaient pour discuter –bien souvent de leurs patients. Mais à force d’être ici, elle connaissait à peu près les heures où tout le monde se retrouvait et à 21heures ce n’était pas la bonne tranche d’heure. Quand elle ouvrit la porte, elle tomba nez à nez avec ce jeune interne, Mathias, et un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres.
▬ Tiens ; tiens docteur Hudson si puis-je dire… quelle surprise ! Dit-elle en lui adressant un clin d’œil qui voulait en dire long. Peaches n’avait jamais été prévoyante, et ce soir, on pouvait s’attendre à tout – ou peut-être pas. | |
| | | Mathias Hudson Attend, je dégaine mon scalpel
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| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Jeu 6 Aoû - 21:37 | |
| « Tiens ; tiens docteur Hudson si puis-je dire… quelle surprise ! » Face à lui, Peaches Atwood. Une jolie et populaire infirmière du London James Hospital. Comme Mathias, la jeune femme devait être de garde cette nuit. Au moins, tous les deux pourraient se tenir compagnie pour pouvoir faire passer le temps. La jeune fille lui fit un petit clin d'oeil, ce qui provoqua un léger rire de la part de son homologue masculin. C'était le genre de clin d'oeil qui en disait long et cela amusait beaucoup le jeune interne.de la voir agir comme ça avec lui. Enfin, avec tout le monde. En effet, la petite blonde était du genre assez charmeuse et n'hésitez pas à draguer tout ce qui bouge, dans le simple but de s'amuser. Sa cible préférée? Les jeunes petits internes, un peu comme Mathias, sauf que là, le jeu était du genre reciproque. Bien qu'il l'appréciait, c'était plus une attirance physique, même s'il aimait parler avec elle. Non seulement Mathias trouvait ce petit côté de sa personnalité drôle mais il était plutôt admiratif de son côté fétarde. C'était de notoriété publique depuis qu'elle s'était faite remonter les bretelles par le docteur Kalee Duschene, la nouvelle titulaire en oncologie. L'humiliation avait été totale et pourtant, elle en était tout simplement ressortie avec la tête haute. Et son côté fêtarde n'avait absolument pas disparu, bien au contraire. Autant lui avait pris avec serieux son nouveau job d'interne, autant, elle semblait réussir à allier travail et fête, sans jamais avoir fais une simple petite erreur médicale. Elle avait beau être blonde, elle était quand même très douée ( ) Vu comme la soirée était partie, tous les deux allaient sûrement passer un petit moment ensembles. C'était comme ça: une fois que l'on faisait parti du personnel de l'hôpital, les seuls amis que l'on pouvait se faire étaient forcément des membres de cet hôpital. Les horaires de boulot, les conditions de travail, personne en dehors de l'hôpital pouvait comprendre et de toute manière, en tant qu'interne, Mathy n'avait pas le temps de faire d'autres rencontres que ses collègues de l'hôpital. Relations amicales, voir sexuelles, tout se passait entre collègues. Et malheureusement, les nouvelles allaient très vite par la même occasion. Mathias avait l'impression d'être au lycée par moment: les rumeurs et tous les potins que tout le monde s'échangeaient le matin ou le soir durant les gardes, les relations entre collègues puis les disputes parce qu'untel avait quitté celle-ci pour la meilleure amie. Bref, c'était le lycée, avec des scalpels, des aiguilles, des chariots de réanimations. Après tout, à part les longues études, ils n'avait jamais rien connus d'autres. C'était des grands enfants en quelques sortes. Avec un petit sourire charmeur, Mathy répondit calmement: « Si puis-je dire? Mais, je suis docteur chère miss Atwood. » Il lui lança à son tour un petit clin d'oeil. Après tout, il était un docteur. Pas totalement, certes, mais il allait finir par le devenir. Un jour en tout cas, du moins, il le souhaitait de tout son coeur, parce que ça avait toujours été son rêve d'être un docteur. Comme la plupart des gosses, même s'il avait envie d'être un pompier, puis un policier, puis un militaire par la suite. En tout cas, il avait toujours souhaitait un métier d'action et s'il échouait en tant que docteur, peut-être que Peaches pourrait l'aider à devenir un infirmier. Il se voyait mal quitter l'hôpital maintenant qu'il était un membre permanent de cet endroit. Beaucoup de gens n'aimaient pas les hôpitaux, annonciateur de mauvaises nouvelles, ou parce que l'air y était trop stérile. Pourtant, Mathias aimait cet endroit pour la simple raison qu'on y cotoyait une multitude de personnes aux personnalités différentes. Des gens comme Peaches. Qui pouvait penser que cette jeune femme souriante et fêtarde pouvait être aussi sérieuse et travailleuse qu'une infirmière? Avec le même sourire charmeur sur le visage, il lui demanda: « J'imagine que tu es de garde aussi? Des cas intéressants? »
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| | | Peaches Atwood Tu veux un pansement?
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| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Jeu 6 Aoû - 23:41 | |
| Alors, comme ça Mathias était lui aussi de garde le même soir que la jeune femme - quelle coïncidence vous ne trouvez pas ? Bon il faut dire que Peaches était ravie, passer la plupart de la nuit avec un jeune interne et surtout Mathias était jouissif, mais attention, il n'y a rien de pervers là dedans, vous savez Peaches peut très bien tenir une conversation. Oui parce que peut-être blonde, mais elle est la fierté des blondes, l'intelligence. *baf* Enfin bon, la relation qu'entretenait les deux jeunes gens étaient tout de même plus compliqués qu'on le pensait, honnêtement, plus d'une personne se poserait des questions sur l'occupation qu'ils ont quand ils sont renfermés dans une même et unique pièce, mais c'est toujours bon de savoir qu'on parle de nous ; que ce soit en bien ou en mal d'ailleurs. Peaches et Mathias avaient depuis leurs premiers regards une attirance physique et rien de plus, quoi qu'au fur et à mesure du temps, c'est vrai que Peaches l'appréciait en tant qu'ami et aime bien discuter avec lui- les soirs de déprime. De ce fait ils sont sans cesse en train de se taquiner autant que de se séduire ; c'est un jeu d'enfant entre eux, mais que voulez-vous, aux alentours des 25ans, on reste encore de gros gamins mentalement et physiquement on peut dire que pour certain ça reste aussi. La jeune blonde n'avait honte de rien, elle se souvient même que sa supérieure, une titulaire d'ailleurs ; Kaelee de son prénom, avait remis en question - devant presque tout le personnel -la sobriété de Peaches autant vous dire qu'elle disait d'elle qu'elle avait la gueule de bois ; ou encore la tête dans le cul et c'était inacceptable. Comme quoi, à force de faire la fête ça paye toujours, mais ce n'est pas pour ça que Peaches allait se remettre en question ; elle assumait tout ; le pire comme le meilleur - hum non le mariage on remet ça à plus tard --->
En entrant dans la pièce il est vrai qu’elle avait été surprise de tomber sur son interne disons préféré, et lui avait balancé une phrase remettant presque en cause son rang de médecin. Bon évidemment ce n’était pas anodin, elle savait qu’il allait très vite la remettre à sa place ; ce qu’il savait si bien faire. Faut dire quand ce n’est pas un qui taquine, c’est l’autre ; autant vous dire qu’ils ont le même degré d’amusement –ou presque. D’ailleurs ; chose dite, chose faite, de suite le gentil Mathias, en prenant l’air décontracté, lui assura qu’il était docteur, juste pour remettre les pendules à l’heure, il ne faudrait pas l’oublier quand même. « Si puis-je dire? Mais, je suis docteur chère miss Atwood. » Peaches s’en réjouie davantage et décida d’aller s’asseoir à ses côté ; et plia ses jambes en délicatesse pour finalement les déplier et remettre son attention sur cet interne, qui l’intriguait beaucoup. Il avait beau être son colocataire depuis peu, elle n’avait franchement pas eu le temps d’en savoir plus.
▬ Mais oui chéri, je n’en doutais pas une seconde ; si tu savais comme j’aime quand tu me reprends... Dit-elle d’un ton sobre, avec un brin de manipulation. Elle aimait tellement le jeu de séduction avec Mathias, qu’elle ne s’en lassait jamais. Et puis tout le monde la connaissait pour son tact, et son sans gêne maintenant. Elle renchaîna aussitôt. ▬ Mais bon, un bon médecin ne se planquerait pas dans les vestiaires –et même si c’est une garde ! Enfin comme t’es fait tu n’as aucun cas attrayant ?! Je me trompe ?
Il est vrai que ces derniers temps ; les cas intéressants ce faisait de plus en plus rare, enfin, pour une infirmière cela ne doit pas être trop gênant, mais détrompez vous ; Peaches, aimait ce prendre au jeu, et rien que pour son expérience, elle adorait voir des patients arrivaient tout sanglant, ayant besoin de beaucoup de soin- SOS infirmière Peaches est dans la place. Bon d’accord ; il était rare pour le moment qu’on ai besoin de ses services mais comme vous la connaissez maintenant un peu, vous vous en doutez que si vraiment elle veut aller fourrer son nez autour des médecins, elle irait sans problème. Enfin, comme l’occasion ne se présentait pas ; elle ne se posait pas la question ; et tant mieux si elle ne voulait pas avoir d’ennuis. Voilà maintenant que Mathias lui posait justement cette question, « J'imagine que tu es de garde aussi? Des cas intéressants? »En effet il ne se trompait pas en imaginant qu’elle était en garde, mais Peaches baissa les yeux pour sa deuxième question, l’air complètement désespérée… Elle haussa les épaules ; puis lui répondit.
▬ Appart des bras cassés et des plaies à ne soigner rien. Mais cette nuit je suis de garde jusqu’au petit matin, j’espère bien avoir à faire à tous ceux qui ont eut des accidents de voiture en rentrant de boîte de nuit… un vendredi soir en plus. Qui pourrait se réjouir de voir un homme défiguré ; un vendredi soir à quatre heures du matin, entrer dans l’hôpital sur un brancard, avec 4grammes d’alcool dans le sang ? Et bien Peaches ; et sans compter tous les internes... | |
| | | Mathias Hudson Attend, je dégaine mon scalpel
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| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Ven 7 Aoû - 19:09 | |
| Comme il s'en doutait, la jolie infirmière étant de garde aussi. Tout comme les internes, les gardes des infirmières se suivaient à un rythme effréné, si bien que Mathias se demandait comment elles faisaient pour tenir le coup. Surtout qu'elles n'étaient pas assez nombreuses et ce n'était un secret pour personne. Même si on était plus admiratif envers les chirurgiens, les infirmières étaient avant tout importantes, essentielles aux hôpitaux et encore plus pour le London James Hospital, qui grâce à ces femmes (et hommes, de temps en temps) évitaient des procès à cause des bêtises des internes, souvent réparaient par ces dernières. Et puis, il fallait aussi l'avouer, elles étaient sexy, non? Quel homme n'a jamais fantasmé sur une infirmière aussi sexy que Peaches? Rien qu'en pensant à cette idée, un sourire niais se dessina sur le visage de Mathias. Bah quoi? C'était un homme, forcément, il avait une grande imagination alors oui, il avait déjà pensé à ce genre de choses. Mais ça, c'était une autre histoire. Bien qu'il trouvait Peaches mignonne et qu'il admirait son côté 'j'assume toutes mes conneries', Mathy trouvait ça drôle cette façon dont elle avait de provoquer ses collègues de travail, comme elle venait de le faire à l'instant vis-à-vis du statut de médecin de Mathias. Au début, le jeune interne démarrait au quart-de-tour, s'énervait de plus en plus alors que la jolie blonde gloussait, ravie de voir l'interne sortir de ses gonds. Puis, peu à peu, Mathias avait bien compris que l'énervement ne servait à rien et l'agacement avait fini par faire place à l'amusement. Si elle ne se gênait pas pour le taquiner, alors pourquoi ne ferait-il pas la même chose avec elle? Après tout, qui aime bien châtie bien. Même s'il ne voulait pas avouer qu'il appréciait Peaches, elle en serait que trop fière! « Mais oui chéri, je n'en doutais pas une seconde ; si tu savais comme j'aime quand tu me reprends... ». Cette petite remarque le fit rire. Le jeu de séduction venait donc de commencer et Peaches marquait déjà un point: une seule intervention et elle arrivait à lui donner un surnom ridicule tout en l'aguichant. Elle faisait une fois encore preuve d'une sans-gêne qui amusait tellement Mathias. « Mais bon, un bon médecin ne se planquerait pas dans les vestiaires -et même si c'est une garde ! Enfin comme t'es fait tu n'as aucun cas attrayant ?! Je me trompe ? ». Hop, une nouvelle attaque qui lui fit grincer les dents. Etait-il si transparant? Non.. Non, il n'était pas si prévisible, Peaches travaillait avec des internes depuis quelques temps déjà et elle devait forcément connaître leur comportement par coeur.
« Je ne me 'planque' pas. J'attends calmement qu'un super trauma arrive, que les urgences me bip et que je sois le premier sur le coup. Avec un peu de chance, Newton me prendra sous son aile. Je sais qu'elle m'aime bien. »
Il sourit alors. C'était la vérité. Il n'était pas du genre à se planquer. D'ailleurs, il n'avait aucune raison de se planquer, ce n'était pas comme s'il craignait quelqu'un en particulier. Quoi que... Si. Il évitait le docteur Mytshun. Il n'avait pas voulu que cette banale histoire de sexe se termine de cette façon et pourtant, sa supérieure n'hésitait pas à le faire chanter s'il n'assouvissait pas tous ces besoins lorsqu'elle en avait envie. D'ailleurs, tout le monde était au courant et les deux seules personnes qui ignoraient que leur histoire était un sujet de discussions du personnel de l'hôpital, c'était Arley et lui-même.
« Et toi? Tu te planques de quoi? Ou... De qui? »
Comme lui, elle devait sûrement s'ennuyer. Cette soirée était pourtant un vendredi, soit, le début du week-end et donc tous les jeunes - et moins jeunes - devaient sortir pour célébrer la fin de la semaine du boulot. Sortir en boite en bande, boire sans s'arrêter dans l'unique but d'être 'pompette' et de pouvoir, soit coucher avec une personne (impossible à faire en étant sobre) ou soit... bah coucher avec une personne dans le simple but de s'amuser. Terminer la soirée en voiture, finir contre un arbre ou pour les plus chanceux, dans un champs. « Appart des bras cassés et des plaies à ne soigner rien. Mais cette nuit je suis de garde jusqu’au petit matin, j’espère bien avoir à faire à tous ceux qui ont eut des accidents de voiture en rentrant de boîte de nuit… un vendredi soir en plus. » Alors, il n'y avait rien de bien intéressant pour le moment. Mathy lâcha un soupir pour montrer son agacement. Vendredi soir quoi! Bon, il n'était peut-être pas assez tard avant d'avoir un bon gros trauma.
« Tiens moi au courant si jamais quelque chose d'intéressant arrive. Je saurais me faire remercier... » dit-il, avec un sourire plein de sous-entendus sur le visage.
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| | | Peaches Atwood Tu veux un pansement?
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| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Ven 7 Aoû - 23:12 | |
| Il est vrai que le rôle des infirmières dans un hôpital est bien trop souvent mis entre parenthèse, pour ne pas trop le prononcer, sachant qu’il n’a pas beaucoup d’importance. Et pourtant, il est clair que tout ceux qui osent dire cela, ne sont ni des médecins, encore moins des résidents, et vaut mieux pas que ce soit des internes ; autrement dit ce sont des gens de l’extérieur, et d’ailleurs, vous verrez mal un patient le dire non plus. Parce que sans toutes ses infirmière dévouée, l’hôpital ne fonctionnerait pas ; c’est comme une tablette de chocolat sans chocolat (c’est bon ce soir faut que j’arrête ce genre de comparaison). On pourrait très bien dire la même chose des médecins, des chirurgiens de toute type, et en effet, on aurait raison, mais pourquoi toujours souligné et mettre en gros titre les noms des chirurgiens, et seulement classé en bas de gamme, les internes, ainsi que les infirmières et puis sans oublier le personnel qui fait nullement partie de la médecine mais qui est là quand même, je nomme les secrétaires, les femmes de ménages, les agents d’électricité etc. C’est avec toutes ces personnes que l’on peut former quelque chose, et s’il n’y avait que les médecins, ça n’avancerait pas aussi vite, ça ne serait même pas réalisable. Voilà pourquoi remettre les choses à plat parfois peu remettre les pendules à l’heure chez d’autre. Parce que j’en passe, mais les horaires des infirmières sont sans doute les pires horaires des membres travaillant dans l’hôpital, en prenant en compte les chirurgiens, parce que croyez moi, vu le nombre de patients qu’il y a à soigner, pour le nombre d’infirmière, c’est bien trop peu, du coup il faut plus de temps – tout est lié, comme par magie. Enfin Peaches ne se plaignait pas de ce côté-là, de toute façon, elle savait très bien remettre quiconque en place si celui-ci osait reprocher son métier, ou pire lui dire que le métier d’infirmière était inutile. Et croyez moi, on lui a déjà dit –sans vraiment savoir qu’elle en était une, et si le mec en face d’elle ne s’est pas mangé une baffe c’est vraiment parce que ça devait être un bon jour pour Peaches. Peaches est d’un naturel envahissant, et le sait plus que tous ; à vrai dire, elle prend facilement la grosse tête à force de voir toutes ses pimbêches l’admirer de sa répartie, de sa franchise, et de son humour débordant –euh ouai. Du coup ; on finissait toujours par la détester parce qu’elle est tout ce que vous rêvez d’être en vous. Peu importe, voilà que Mathias lui cherchait une excuse valable de sa présence dans les vestiaires, assis sur les bancs qui figurait contre les murs blanc, entre deux casiers. « Je ne me 'planque' pas. J'attends calmement qu'un super trauma arrive, que les urgences me bip et que je sois le premier sur le coup. Avec un peu de chance, Newton me prendra sous son aile. Je sais qu'elle m'aime bien. » Là, elle ne pu s’empêcher d’avoir un rire sarcastique ; puis détourna le regard l’air dépassée.
▬ Toujours le même discours vous les internes ; A la quête du patient qui aura un bon gros traumatisme ; pour que vous fassiez preuve de répartie, et vous en mettiez pleins les yeux à votre résident. Franchement Peaches n’avait pas tord, ils étaient tous comme des gros fayots à vouloir le dernier gros numéro, pour en quelque sorte occuper leurs temps libre- la vie de futur médecin quoi. Elle reprit, cette fois-ci en le regardant dans les yeux, clignant des cils, comme quoi il savait pertinemment qu’elle avait raison mais il ne l’avouera pas. ▬ Enfin ce soir je compte bien te faire oublier ta petite compétition avec tous ces gigolos ; je suis sûre que bip ou pas ; tu ne l’entendras même plus…Bon là va falloir franchement qu’elle y mette du cœur parce que à le voir ; il n’arrêter pas de vérifier si son engin marchait, cela faisait plus d’une demie heure qu’il n’avait pas été bipé. Mais Peaches était confiante, cette soirée s’annonçait confiante en perspective ; et elle s’en donnerait tous les moyens possibles et imaginables. Oui les internes elle les connaissait, tous les ans, il y en avait des nouveaux, malgré qu’elle ne soit pas là depuis des lustres, elle en avait vu quand mêmes des dizaines défiler devant elle, et ils étaient tous identiques ; les mêmes moyens pour arriver à leurs fins, les mêmes ambitions, le même avenir enfin tout les liaient. Ce qui réjouissait chaque année la jolie demoiselle, c’est qu’ils sont aussi tous très séduisant, et passait rarement une année sans leur adresser la parole –et plus si affinité. Faut dire, ils n’étaient pas vraiment insensible à son charme non plus ; c’est donnant –donnant. D’ailleurs Mathias avait tout le physique pour attirer la jeune femme, l’allure, le charme, l’amabilité, tout ; c’était disons le premier qu’elle avait repéré au milieu de ces élèves, et ça avait été réciproque. Depuis, elle ne cesse de le charmer ; mais ne veut pas céder pourquoi ? Parce qu’elle a décidé de faire durer le plaisir, et vous pouvez faire ce que vous voulez, Peaches est bornée et têtue en plus de ça. Elle espère bien que sa nouvelle proie fera tout pour l’amadouer, d’ailleurs celui-ci lui reversa la question qu’elle venait de lui poser, « Et toi? Tu te planques de quoi? Ou... De qui? » Peaches se leva, et alla vers son casier qu’elle ouvrit et prit sa blouse.
▬ Figures toi que je viens de commencer mon service il y a à peine une demie heure, j’étais donc venue ici pour prendre ma blouse, et puis la mettre tant qu’à faire…Fit-elle d’un ton plutôt ensorceleur. S’il n’avait pas compris c’est vraiment qu’elle allait devoir lui déboucher le cul en parlant poliment. Non ce qu’elle voulait lui faire comprendre c’est qu’elle enlevait toujours le haut dans sa blouse ; on est plus à l’aise dit-elle. Sale exhibitionniste. ▬ Oui parce que contrairement à mes collègues je transpire comme une bœuf la dessous ; alors j’enlève le haut. Il n’y avait pas de mal, elle était sûre qu’elle n’était pas la seule à le faire, mais la seule à le dire ça elle pouvait être sûr, c’était bien la seule. « Tiens moi au courant si jamais quelque chose d'intéressant arrive. » C’est le sourire aux lèvres, que Peaches resta debout une main sur sa hanche, la tête penchée, entrain de le regarder, un sourire béat aux lèvres. A la fin de sa phrase, ses yeux pétillèrent, genre enfin il avait dit ce qu’elle voulait toujours entendre. « Je saurais me faire remercier... » remplis de sous-entendus, venant de Mathias en plus. La il fallait avouer il marquait deux points d’avance, mais Peaches allait très vite l’égaler, si ce n’était pas déjà fait.
▬ Compte sur moi ; si en plus j’aurais le droit à des remerciements. J’espère au moins que tu sauras faire preuve d’originalité mon cher Hudson ; regard pervers ; sourire manipulateur, tout retombait sur lui à présent, et elle en était bien contente. ▬ J’aimerais ne pas garder une certaine amertume. | |
| | | Mathias Hudson Attend, je dégaine mon scalpel
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Complications I-pod: The Republic Tigers ♦ Buildings & Moutains Niveau professionel: (50/100) Relations:
| Sujet: Re: i like the way you work — pv peaches Dim 9 Aoû - 15:50 | |
| Depuis le début de sa garde, le jeune interne n'avait parlé qu'un quelques patients au dispensaire, puis, avait été envoyé pour s'occuper des sutures aux urgences. Rien de bien passionant en gros, puiqu'il avait fait de la couture. Malgré le fait que cela n'était pas très attrayant, Mathias avait fait son travail consciencieusement, comme il avait l'habitude de le faire. Certes, Mathy aurait été plus intéressé par un bon trauma, mais le simple fait d'aider une personne qui venait de s'ouvrir l'arcade sourcilière le rendait tout de même heureux. Parce que leur but était tout de même de sauver la vie de leur co-citoyens - bon, d'accord, une arcade sourcilière explosée n'est pas mortelle - mais c'était toujours drôle de voir le patient sauter dans les bras de son medecin en le remerciant de l'avoir sauver. Normal que par la suite, les medecins (surtout les chirurgiens) se prenaient pour le centre du monde et pour des personnes importantes alors qu'en fait, c'était leur métier, ce pourquoi ils avaient fait de longues études. Et Mathias trouvait que la gratitude d'un patient était beaucoup plus gratifiante qu'une bonne grosse intervention. Evidemment, il se gardait de le dire. C'était beaucoup plus 'interne' de se montrer inhumain et d'être fou de joie à l'idée de voir du sang, de très graves blessures. « Toujours le même discours vous les internes ; A la quête du patient qui aura un bon gros traumatisme ; pour que vous fassiez preuve de répartie, et vous en mettiez pleins les yeux à votre résident. » Le jeune interne sourit. Une fois encore, elle faisait une belle analyse des internes, mais à force d'en voir des nouveaux chaques années, Peaches les connaissait par coeur, savait quoi dire pour les vexer et jouer avec. Il savait qu'elle avait raison mais cela lui faisait bien trop mal de lui avouer. De toute manière, lorsqu'il la vit clignait des yeux, il comprit qu'elle savait qu'il ne la contredirait pas. « Enfin ce soir je compte bien te faire oublier ta petite compétition avec tous ces gigolos ; je suis sûre que bip ou pas ; tu ne l’entendras même plus…» . Mathias sourit une fois encore, dévoilant son sourire digne des publicités Colgate. Il trouvait ça toujours amusant de voir à quel point Peaches avait confiance en elle. Cependant, Mathy devina rapidement qu'elle aurait un peu de mal pour le distraire totalement de son bippeur. En effet, depuis plusieurs minutes, il n'arrêtait pas de le regarder. Peut-être qu'il ne marchait plus, que les piles étaient à plat? Non, pas possible, il les avait changé deux jours plus tôt. Il faisait pourtant à confiance à la jeune infrmière, qui trouverait un moyen de l'écarter de sa préoccupation du moment, à savoir, attendre un trauma et la connaissant, elle trouverait très vite.
Au lieu de lui répondre, il préféra resta silencieux. Non pas parce qu'il n'avait rien à dire, mais il trouvait ça beaucoup plus amusant de l'observer en souriant avec son regard de charmeur et de la laissait parler. Il aimait écouter les gens et elle était loin d'être déplaisante à l'écoute. Et puis, plus que tout, il aimait la regarder. Elle était très agréable pour les yeux et même si c'était la première chose qu'il avait remarqué chez elle, très vite, Mathias s'était rendu compte qu'elle n'était pas une stupide blondasse mais bien au contraire, qu'elle avait de l'esprit et surtout, un minimum de culture et d'intelligence. C'était d'ailleurs pourquoi il aimait passer du temps avec elle, parce qu'elle avait de la conversation et un cerveau. Alors qu'il regardait son visage et surtout, qu'il avait ses yeux plongés dans son magnifique regard de la jolie blonde. « Figures toi que je viens de commencer mon service il y a à peine une demie heure, j’étais donc venue ici pour prendre ma blouse, et puis la mettre tant qu’à faire… » Une nouvelle fois encore, il sourit, mais avant de pouvoir répondre, elle ajouta «Oui parce que contrairement à mes collègues je transpire comme une bœuf la dessous ; alors j’enlève le haut ». Entre deux rires, il finit par dire
« Ah oui? Je n'ai jamais rien remarqué. Je vais sûrement faire un plus attention maintenant. Mais si tu veux, Nivea a sortit un nouveau déodorant anti-transpirant.. »
Il termina par un petit clin d'oeil. Ce petit jeu amusait grandement le jeune interne, et il comprit qu'elle aussi trouvait ça plutôt drôle. « Compte sur moi ; si en plus j’aurais le droit à des remerciements. J’espère au moins que tu sauras faire preuve d’originalité mon cher Hudson ». En tout cas, il avait l'assurance qu'elle appellerait son interne préféré - a savoir lui - en cas de trauma. Comme ça, tous les deux pourraient passer leur soirée ensembles, cela pouvait être amusant. « J’aimerais ne pas garder une certaine amertume. ». Mathy se leva et se dirigea vers la jeune femme. Il s'approcha de son oreille, et lui murmura
« Ne t'inquiète pas, le prochain toucher rectal que je dois faire, je t'appelle. »
Tout en rigolant, trouvant ce qu'il venait de dire particulièrement drôle, il se dirigea vers les lavabos pour se passer un peu d'eau sur le visage, attendant avec impatience la réaction de Peaches.
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