Wyatt MATTESON. ___ Map Of Your Head.

I. Identité

Nom : MATTESON.
Prénom : Wyatt, William & Wayne. Trois prénoms commençant par la lettre W, fait qu’il ne peut expliquer à ce jour. La seule explication qu’il se sent toutefois capable de fournir est sans nul doute le peu d’imagination de la part de ses géniteurs. Néanmoins, Wyatt lui convient parfaitement.
Age : Il a soufflé sa trente-troisième bougie le 16 juillet dernier.
Lieu de naissance : Le petit Wyatt vit le jour pour la toute première fois ici même, à Londres ; cadet d’une famille constituée de trois frères.
Nationalité : Bien qu’étant le fruit d’une union américaine du côté paternel et anglaise du côté maternel, il se juge avant tout – et probablement seulement – anglais, c’est d’ailleurs la nationalité qui figure sur ses papiers.
Emploi : Aujourd’hui embauché au London James Hopital en qualité de Médecin-Résident spécialisé en chirurgie générale depuis bientôt un an, Wyatt a du s’acclimater aux hôpitaux anglais qu’il a trop peu de fois côtoyé depuis ses années d’internat qu’il a passé à Seattle. Cela ne fut guère bien difficile car si sa « vie américaine » d’antan semble loin derrière lui maintenant, il n’a eu aucun mal à se faire une place de choix dans l’établissement.

III. Personnalité

- Profil Moral

Secrets :

- Les apparences nous mentent : Souriant, très rarement de mauvaise humeur, social ; on peut facilement dire que Wyatt fait preuve d’un naturel avenant lorsqu’il s’agit de s’adresser à une tierce personne. Que ce soit sur son lieu de travail ou bien dans la vie de tous les jours, ce jeune anglais ne résiste jamais à l’envie – et le besoin aussi – de sourire à tout va, d’abord dans l’optique de peut-être rendre sa joie de vivre contagieuse auprès de ses nombreux patients mais aussi pour ne laisser filtrer aucun relâchement, aucune faiblesse. Habitué depuis sa plus tendre enfance à ne jamais ô grand jamais se plaindre à qui que ce soit – sauf cas extrême – c’est tout naturellement qu’il se montre le plus aimable possible aux yeux de tous, comportement ordinaire dirait-il. Ayant reçu une éducation des plus strictes dans une famille où certaines valeurs étaient quotidiennement mises en pratique dans le but de ne surtout pas être oubliées, il semble avoir conservé cette fâcheuse habitude de paraître continuellement… heureux. Oui, c’est le mot. Il faut dire qu’avec deux géniteurs la plupart du temps aussi rigides et froids que des glaçons il était préférable de garder ses commentaires et bobos au cœur pour soi ; simple prévention en vue d’une gifle qui ne saurait se faire attendre plus longtemps car si les Matteson détestaient bien une chose c’était les lamentations inutiles. A défaut de ne pouvoir se confier à son ours en peluche comme il avait pu le faire dans un passé très lointain, il se console aujourd’hui avec les moyens du bord qui portent le nom de Buster, un chat de deux ans et demi recueilli par un refuge qu’il a ensuite adopté. Tous s’accordent à dire que ce jeune homme de trente trois ans ne manque pas d’audace ni même d’assurance, et pourtant… Avec deux frères devenus tous deux titulaires en chirurgie, Wyatt est tous les jours confronté à ce complexe d’infériorité qui le hante et ne le quitte désormais plus. C’est avant tout pour masquer une trop petite estime de lui qu’il se montre aussi confiant, atteignant parfois même le seuil de l’orgueil.

- Aimer, c'est... : Les couples se forment puis se détachent sans que le monde ne s’en inquiète plus que cela. Tout comme la plupart des mariages finissent en divorces. L’amour avec un grand A n’existe pas – ou plus – aux yeux de notre anglais qui persiste à croire et dire qu’aucune « âme sœur » ne nous est destinée quelque part sur Terre. Comme la majeure partie des gens Wyatt a connu des histoires, sérieuses ou sans lendemain, mais jamais l’idée de finir ses vieux jours aux côtés d’une seule et même personne ne lui est venue à l’esprit. C’est un mythe inventé de toutes pièces par le cinéma qui en a par la suite fait un business mondial étudié pour donner de faux espoirs aux gens. Se faire de l’argent grâce aux malheurs des autres n’est pas louable, d’ailleurs il n’est pas peu fier de pouvoir aujourd’hui se compter parmi les personnes n’ayant jamais succombé à ce jour à une quelconque forme de stupidité lascive. A trente trois ans, ne pas avoir dit une seule fois « je t’aime » à une femme représente en quelque sorte une fierté pour lui, même si la possibilité de ne jamais trouver chaussure à son pied l’angoisse légèrement d’une manière qu’il ne s’avoue pas. Contrairement à ce qu’il peut montrer la gent féminine l’effraye quelque peu, dans le sens où ce sont des êtres dotés d’une malice inhumaine et d’une intelligence sans limite ; s’abandonner à une femme est synonyme de perte totale de contrôle. Et qui dit perte de contrôle dit aussi soumission émotionnelle, ce qu’il se refuse à vivre ; ses nombreuses erreurs idylliques réconfortant cette idée.

- Bien connaître pour mieux défendre : Si à ce jour son travail de chirurgien n’a jamais été remis en question par qui que ce soit, c’est de sa propre initiative que Wyatt commence à émettre quelques réserves et doutes quant à son devoir professionnel qui consiste à sauver des vies et non à les mettre davantage en danger. Ana – précieuse future chirurgienne – est l’une de ses internes, probablement sa favorite même si aucune préférence ne devrait se faire ressentir, il tient à elle comme il tiendrait à une petite sœur qu’il n’a pourtant pas. Promis à un grand avenir, sa surprise fût grande lorsqu’il découvrit que les rouages de la drogue avaient fait leurs effets sur la jolie blonde. Le lien qui les unie est inexplicable… Wyatt n’a aucune réelle raison de la protéger des autres, il ne la connaissait pas avant son arrivée à Londres alors pourquoi continuer de la couvrir ? Il ne sait que trop bien à quel point il faillit à son devoir en la laissant pratiquer la médecine sous de telles conditions mais s’il s’octroie le droit de garder ce secret sous silence c’est avant tout pour sauver sa carrière d’une fin beaucoup trop hâtive. Bien entendu, il lui a fait promettre de toujours se montrer sincère avec lui et quand bien même elle viendrait à se montrer à l’hôpital dans un état second, le jeune chirurgien prendrait la décision de l’entraîner dans une sale de repos ; convainquant les yeux curieux qu’il s’agissait d’un bon rhume contagieux qu’il vaudrait mieux éloigner des patients. La jeune femme le confronte à de réels problèmes qu’il pourrait s’attirer et pourtant, cela ne l’effraie pas un seul instant. Sauver des vies, opérer des gens, cela fait partie de son lot quotidien. Il se sent essentiel à travers eux mais le sentiment d’utilité qui le traverse en sa présence est tout autre, son besoin est personnel là est toute la différence.

Particuliarité :

- Il a tenté de passer quatre fois son permis de conduire avant de l’obtenir.
- Il n’aime pas la viande rouge.
- Sa soirée idéale ? Un bon repas suivi de près par le visionnage d’un DVD, le plus simplement du monde affalé dans son sofa. Un moment banal qu’il ne trouve cependant pas le temps d’avoir à cause d’une fatigue trop grande accumulée par les heures de travail. Son appartement lui sert principalement d’endroit où dormir.
- Enfant, il n’était guère plus épais qu'une baguette chinoise. Adolescent, il ne dépassait pas les 50 kilos. Aujourd’hui, il semble bien mieux se porter.
- Il adore les bras de fer.
- Rares sont les femmes qui ont un jour visité son appartement.
- Bien que sachant cuisiner, il ne trouve pas souvent le courage nécessaire pour le faire. Par conséquent, la majeure partie de ses repas viennent de divers traiteurs.
- La première chose qu’il fait en se levant, c’est prendre une douche
- Bien que n’étant pas prêt, son souhait est d’avoir quatre enfants. Ce qui promet d’être difficile maintenant qu’il vient de dépasser la trentaine.

IV. Book List

© sonnacchioso Ethan Cooper

© stayxclassy Sydney Vaughan

© ifake Anastasya Derevenko

V. Hors Jeu

Avatar : Hugh Dancy
Fille ou garçon : Euh, fille ?
Comment avez-vous connu Complications : Un petit corps m'a gentiment donné le lien
Commentaire : J'ai toujours rêvé d'ouvrir un torse *Range sa tronçonneuse*

II. Histoire

Allô Docteur : -15 lignes-

Bienvenue
anhh, la musique

RAY & HUGH.
Bienvenue

Bienvenue

Merci tout le monde
Perso', y a pas que le sourire qui me fait craquer... enfin moi je dis ça, je dis rien

Corpsie & Butter >

Le mérite revient à sa créatrice j'ai nommé la joueuse de Sydney
Merci pour l'accueil

Ravie de voir que la plupart des gens partagent mon amour pour Hugh


Mikhail > Morfi
Pourtant, il a du potentiel

Et merci qui d'avoir soufflé l'idée de vava ? *PAF*

Tu veux qu'on te lance combien de roses ? Le bouquet peut-être ?