Ethan Cooper C’est parti : leçon d’anatomie
Nombre de messages : 41 Age : 36 Emploi : Cardiologue Date d'inscription : 06/08/2009
Complications I-pod: SIGNAL FIRE - Snow Patrol Niveau professionel: (100/100) Relations:
| Sujet: There you are, superstar [R.] Jeu 20 Aoû - 17:39 | |
| (C) mission_street ; Rivvel Ayant passé sa nuit à l’hôpital, Ethan n’avait eu vraiment que quelques heures pour récupérer. Il était don rentré chez lui brièvement faisant ce qu’il appelait un aller-retour dans son lit histoire de se recharger, car il devait bien s’accorder quelques heures de sommeil mais voilà bien vite que le réveil perturba son semblant de sommeil. Et même si cette sonnerie il l’attendait, il ne pût s’empêcher de grommeler diverses insultes envers ce pauvre appareil électronique qui ne recevait pas vraiment énormément d’affection de la part du cardiologue qui chaque jour le menaçait de le balancer par la fenêtre ou bien de lui rouler dessus avec sa voiture – au choix – le tout en évitant d’élever la voix afin de ne pas troubler le sommeil de sa chère et tendre qui de temps en temps avait le privilège de s’accorder un sommeil réparateur bien plus bénéfique que son époux . En cette heure matinale, rien ne lui aurait fait plus plaisir que d’ouvrir les volets et de voir le soleil se lever. Belle erreur. Car même après tout ce temps passé en Angleterre, son côté américain ne cessait de chercher les rayons du soleil qui n’étaient évidemment présents que quelques jours dans l’année. Et oui, aujourd’hui il pleuvait. Dingue.
C’est donc un Ethan désespéré qui se pencha vers Sixtine et lui déposa un baiser sur la joue avant de filer en toute discrétion. Discrétion, à moitié puisqu’il claqua la porte comme un cinglé provoquant la chute du tableau de l’entrée au passage. Filer était la meilleure option. C’était ce même Ethan qui scruta une dernière fois le ciel nuageux et cracha un « je pari qu’il va pleuvoir » avant de s’engouffrer dans sa voiture. Là, avait lieu son rituel. Si le soleil ne faisait son apparition au grand désespoir de Cooper, il avait trouvé une solution, une alternative. En effet durant les quelques moments libres qu’il possédait il avait eu l’idée – ingénieuse selon lui – de composer un cd avec des chansons possédant le doux mot ‘sunshine’ dans le titre. Pas mal, non ? C’est donc en démarrant la voiture que ‘walking on sunshine’ commença à envahir le véhicule tirant pour la première fois un sourire au titulaire. Ce qui le faisait aussi marrer c’était ce qu’il avait en tête, ou plutôt qui. Rien que pour cette personne à la blondeur légendaire, ça valait le coup de se lever en ayant l’air d’un zombie – ça et aussi parce qu’il avait l’occasion de contribuer à sauver la vie des gens.7H30Se garant sur le parking du London James hospital – sur sa place. Que c’était bon de voir ‘Ethan Cooper’ comme emplacement réservé, ce n’était pas comme dans ces centres commerciaux où il devait galérer une bonne dizaine de minutes afin de se trouver une place quitte à la piquer à une grand-mère. En entrant il salua brièvement Pam qui passait un coup de serpillère dans le hall d’entrée. En passant, elle se racla la gorge et jeta un coup d’œil à Ethan, lui faisant remarquer au passage une bien belle tâche de ce qui semblait être d’origine inconnue. « Ah putain. » lâcha-t-il tout en remerciant la jeune femme d’un signe de tête. Détour vers les vestiaires où il se changea rapidement. Et c’est à ce moment là que tout se déclencha. Coup d’œil rapide à l’horloge murale, l’heure était matinale mais selon lui la connerie n’arrivait jamais trop tôt.7h32Chemise neuve sur le dos, il venait de suivre la silhouette de la blonde depuis les vestiaires, aussi discret qu’un lion prêt à attaquer sa proie. C’est alors qu’il bondit sur elle, posa une main sur l’épaule de Jackie, provoquant l’étonnement de cette dernière qui poussa un soupir en tournant la tête et découvrant par la même occasion le visage radieux d’Ethan. Il était accroché à elle, provoquant l’étonnement d’une infirmière qui passait par-là, mais qu’importe si elle faisait courir des rumeurs parmi le personnel. « Stamper… » Lança-t-il, le regard diabolique, laissant quelques secondes de pseudo suspense avant de reprendre « … C’était donc toi l’odeur. Non, sérieux tous les matins il y a une odeur désagréable dans les couloirs et là je réalise… » Encore une fois il interrompit son si passionnant discours pour littéralement renifler la jolie blonde « … Oui, c’est toi. Au début, je croyais à un rat crevé quelque part mais le fait est que c’est toi. » Se plaçant devant elle, le regarde plein de compassion, il posa la main sur la tête de Stamper « Je le dis en tant qu’ami. Aujourd’hui on fait des déodorants pas croyables… » | |
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